Covid et Corona - Une nouvelle aventure de Pedro
n hôte particulièrement apprécié dans les repas de famille. Ses cheveux châtain clair, coupés courts, encadraient
ans le canapé,
ouvert et à l'heure qu'
a notion « d'open-bar » s'appuyait su
tes, au point de se fondre dans la masse grisâtre de derrière les fagots appelée cerveau par certains érudits, s
a dis
ère, la fille. Une seule satisfaction dans cette triste situation, le sort semblait s'acharner
phoné partout, personne ne l'a vue. J'ai fermé le rest
ent en se grattant le menton. Le chat Médor vint se lover entre les deux. Il ronro
disparu, on peut supposer q
ropicale. D'abord, le coronavirus s'était abattu sur la planète comme, en son temps, la vérole sur le bas clergé, puis il y avait eu le confinement avec la fermeture du restaurant, puis le déconfinement et la reprise timide des affaires, ensuit
surtout pour Julien. Pedro av
e, passa une tête à travers la
lor
e Juif, le franc-maçon ou le chien errant au fronton des églises dans les années trente ou quarante, elle se bornait, de nos jours, à observer l'amant de la voisine sortant par la fenêtre des chiottes en fin de nuit. C'était, il fallait bien l'avouer, se complaire dans la médiocrité. Heureusement, le coronavirus avait remis à flot les
a graisse était au mécanicien, ou l'huile bouillante à la friture, la paire de doui
ne dernière ou un peu avant, peut-être. En tout cas, i
la seule, de la page journalistique