Trouver le chemin de l'amour
ite qu’elle n’avait rien vu venir. Ce dernier était en voyage pour
s’acheter de nouveaux vêtements. Il lui avait dit qu’à présent, elle
’en fit pas cas longtemps car Henriett
il t’a don
m’achète des choses… mais j
arte acheter des habits. Il a raison, t
sais que je n’ai pas ce
est pas le diable quand même. Tu ne vas pas rester chez toi comme ça
: tu as rai
peur pour sa 1ere rencontre avec son mari. Après tout, elle était vierge et savait que ce genre d’homme était tout sauf doux avec les femmes. Elle secoua
s la boutique de lingerie fine, elle avait failli tomber dans les pommes. Bien sûr, Henriette était plus expériment
r acheter juste quelques nuis
ouvait pas s’empêcher de lui en vouloir. Sa mère ne s’arrêtait plus à faire des plans soit pour transformer la maison, soit pour acheter des marchandises de Dubaï et cela fatigua
me sa petite sœur était toujours à l’école, elle sera tranquille p
a :
ma femme. Com
outait cet homme parler et elle avait du mal à se résoudre qu’i
e vais bi
vraiment la peine. Je n’ai presque pas de vie de famille. Mais si Dieu le veut quand je rentrera
de désespoir :
es amis me disent que
chanceux de l’avoir comme femme. En réalité elle était très belle. Oui sa mère était mauritanienne de mèr
aisait plus attention à lui jusqu’au moment où il
u rentres
e descendrai pas de la voiture. Je vais juste
passes pas saluer t
toi de tout préparer. Je n’aime pas les retards. Al
r aux caprices de sa mère comme le lui avait dit son frère. Mais maintenant que les dés sont jetés, elle n’avait plus d’autres choix que d’accepter son sort. Après tout, baye modou n’était p
r à elle, mais aussi à mère Fanta qui était toute excitée de voir sa fille partir en lune de miel. Pa Kane et elle, ne se souciait pas de la tête d’enterrement que faisait leur
c’était baye modou qui lui disa
t’accomp
t ma fille. Revient
te réflexion de sa mère mais se dit que
tu sais que tu peux tout arrêter, je te souti
Je vais finir par m’habituer à lui. Il n’
rop tard, mais ce n’était pas ce que j’avais voulu po
t pas l’habitude de pleurer mais cette fois ci, elle ne pouvait plus se retenir. Elle
t fi
ousant toutes ses formes, il avait failli avaler sa langue. Elle était encore p
r la joue. Ses trois vielles ne connaissaient mêm
u’est ce
… tu es très belle tu sais.
rs vu baye modou comme un homme autoritaire et très stricte, était maintenant dev
hère elle se tourna vers
’ai fini le travail d’un mois
est-ce que tu f
de chiffre. Et puis, elle n’avait pas à s’occuper de ses affaires. Il se retourna et allait dire ça à Mayna quand il rencontra ses gran
ut, l’immobilier, le textile, les acc
t tu fais pour gérer tout ça alors qu
pas peut être que j’
un système de gestion fiable tes affair
oujours ce regard intimidant qu’il n’arrivait même pas à soutenir. Il soupira, se détestant, car il n'avait pas l’habitude d’être dominé de la sorte par une
et tu diras à ton comptable de le suivre à la lettre. T
e est une intellectuelle, plus douée que ses rivales. J
s. et ce qui se passe entre toi et moi, ça reste entre toi et moi. Je ne sais pas comment tu as l’habitude de vivre avec les
i, en réalité, son patron était toujours celui qui avait le dernier mot, et c’est donc avec surprise qu
IVRE