UN AMOUR BRISÉ
ça un mois
r une légère tiédeur dans les maisons et à travers les fenêtres. Dès l'aube naissante, les pêcheurs se penchaient, un filet à la main, vers la mer. Cette mer qu'ils '' apprivoisaient '' avec tant d'espoir. L'espoir de faire sortir assez de poissons pour une journée réussie. L'espoir fa
rtir de ce doux rêve dans lequel
istraction '' . Distraction car le fait de dormir jusqu'à certaines heures faisait désormais partie de l'ère des vacances. Les étudiants et élèves avaient une autre vie qui reprenait, celle des études. Les études, cette chose qui pouvait tout changer. Son père El Hadj Rassoul Kane avait toujours l'habitude de l
es toilettes pour se pré
oit pas de partout, elle n'aimait tout simplement pas quand les tenues étaient un peu trop tape-
voila sa préparation terminée. Quand la jeune fille voyait certaines de ses '' compatriotes '' s'habill
olaire, elle se devait donc de venir
e sa voiture, son sac et
ison que ses parents étaient déjà partis tra
stait être en retard. Selon elle cela était un manque de
it de lui arriver si jamais elle conti
ait même failli renverser un mendiant tellement elle accélérait , le pauvre petit talibé (enfa
e temps c'est de l'argent '' était pour le moins fortuite. Tous voulaient rendre leur mode de vie et celui de leur famille meilleure. Les pères et mères de famille se décarcassaient encore et toujours, voulant assurer une vie des plus aisées à leur progéniture. Ils faisaient tout ce qui était en leur pouvoir pour les voir sourire. C'était pour eux le sen
la était possible, mais hélas un handicap les en empêchait pour la plupart du temps. La vie était ainsi organisée, certains cherchaient à obtenir le minimum possible, d'autres ne faisaient aucun effort et se basaient sur leurs proches et enfin il y avait ceux qui devenaient encore plus riches qu'ils ne l'étaient. Au Sénégal l'on remarquait un phénomène assez particulier, c'était que les pauvres s'appauvrissaient toujours un peu plus là où les riches s'en frottaient les mains en s'enrichissant. Triste certes mais c'était parce que l'entraide n'était pas quelque chose de courant d'une certaine manière. En effet chacu
llait juste se retourner pour se rendre compte qu'il y en avait un qui vivait pire. La solution était de garder sa foi
ns étaient juste à la quête de quelque chose à se mettre sous la dent, par contre d'autres qui constituaient d'ailleurs la majorité étaient envoyés par leur maître
ts. Non selon elle ils les utilisaient comme bon leur semblait et donc les exploitaient. Désolant diraient certains, mais hélas elle était impuissante face à cela et n'avait que sa bouche pour dénoncer tant d'injustice. Injustice car cela n'était pas du tout normal que des enfants soient encore mineurs lorsqu'ils quit
stitut à exactement 7:55, ce qui voulait don
sseur n'était pas encore là. La cla
donc pour se faufiler et se mettre juste
vori à la recherche d'un quelconque divertissement qui pourrait l'occuper en attendant l'arrivée du professeur .
, vint se mettre près d'elle. Cela ne la d
ur !! l
e son appareil pour