La petite fille qui riait tout le temps...
ois, ou plutôt il au
'ombre d'un problème, comme on dit, jusqu'au jour où quelqu'un me demandant mes date et lieu de naissance a légèreme
de histoire don
es lieux donc certains jours, un orchestre jouait et que ce qui se disait, c'était qu'il s'agissait de masquer les bruits, les cris qui auraient pu gêner ceux qui étaient là pou
n'a plus r
'enfantement, qu'elle préférait mourir tout de suite. C'est vrai à sa décharge que la 1refois avait dû être réellement terrible, plus de 36 heures de souffrances, san
! Et le médecin lui avait
jamais entendu parler de « césarienne » ou de quoi que ce soit, mais c'est vrai aussi que dans cette
mauviette la grande blonde, e
e dans un fossé, pa
guerre, la 1re, avait attelé en urgence la calèche afin de se rendre au village vois
ourageait le cheval à aller plus vite, plus vite, un éclair, plus violent que les autres, le fit se cabrer e
it pas fait pour l'affoler
e allait le devenir, mais avant,
que la petite sœur n'a encore que 4 ans... et puis, le jour de l'enterrement, une discussion entendue du bas d'un escalier, discussion entre les oncles et les tantes, bien installés dans la v
la suffit pour fai
és et son mètre soixante-quinze le lui permettent... Et puis le temps passe... Un jour, elle montera sa propre entrepri
ière-née, oui, sa dernière voiture ! En ces temps reculés, il n'y avait pas de panneaux publicitaires, pas de spots radiophoniques ou télévisuels pour vanter, les dernières innovations, pour suggérer, i
ines devant cette si petite voiture... Mais non, j'ai découvert que la 4 CV n'avait vu le jour qu'après la guerre et que si la grand
que-là s'il croyait l'aimer, il se rendait compte que ce n'était qu'une grande amitié qui les liait, une très grande estime, qu'il avait croisé une femme qu'il ne
it ça mon pap
d'enfant et ils
ait les pieds... ! Ne vous y trompez pas,
udre déterminant po
ée que l'emploi qu'elle occupait), là où apparemment l'amoureux transi avait réussi à se faire muter... Sans doute, pour se
Elle, je ne l'ai jamais entendue parler de ses sentiments, sauf peut-être trop tard, lorsqu'il n'était plus là ! Elle disait alors combien il lui m
n partageait simultanément avec plusieurs adversaires)... mais tout de même ! Cet homme qui avait fait du water-polo, qui nageait si bien qu'un jour, au dire des journaux de l'époque, il avait « au péril de sa vie » plongé pour sauver une femme qui se noyait dans le Rhône, sauvetage qui lui avait
il était plus jeune ! Jusqu'à la fin de sa vie d'ailleurs il conserve
bien y avoir un peu de tout ç