La petite fille qui riait tout le temps...
t, la guerre, la deuxième,
ne revenait pas, comme c'était probable, elle bénéficierait de la pension de veuve et que dans sa situati
presque en cachette ! Son divorce avait été prononcé moins d
as mort en
d après avoir remporté la seule victoire f
is qu'il avait estimé qu'il y avait des choses importantes à faire de l'intérieur... Je le soupçonne, mais ça il ne me l'a jamais dit, ne pas avoir p
! Et puis mon papa c'était un homm
rtons en cours de transfert entre les différentes archives des ministères de la Guerre, de l'Intérieur... ma
s savez ces camps d'hébergement prévus pour accueillir les « indésirables »... C'est ainsi que, j'ai découvert, on appelait les réfugiés
rescapés, les laissés pour compte de la « Guerre d'Espagne », il ac
pour la déportation mon père demande à être relevé de s
a paix affecté au service central de la sécurité publique » à
soulever quelques questions, voire quelques dissensions, au sein de la famille ! Mais il est trop tard
rang de préfet... mais là, c'est maman qui s'y est opposée. Elle ne voulait pas partir dans ce pays de« sauvages »avec ses deux
er de voie et finalement revenir chez Renault
jours gardé une aversion absolue pour la politique disant : « C'est le monde le plus pour
la croix de guerre avec palmes, obtenue pour hauts faits militaires qui fon
onde non plus d'ailleurs, car sans doute le c
er« Le Magnifique »même si je ne
Tout de même, c'est comme cela que, à 3 ans d'intervalle, presque jour pour jou
certains documents laissent à penser que dès le 26/12/40 il y était déjà)
as dû être
d'hébergés ne cesse d'augmenter. En 1 mois, il est passé de 2 100 à 5 000 et on en annonce pour le 10 mars 1350 de plus, et encore 5 000 à une date non encore précisée
re compte qu'à partir d'une date voisine du 15 mars, je ne disposerai plus d'aucun moy
e formule d
'était pas à la pl
ertains se so
qui a passé quelque temps à la maison ; tous les matins, il partait avec son béret noir
ssées lorsqu'il est parti, notamment une fresq
t « hébergé », à Rivesaltes... j'ai même gardé son nom en mémoire, j'ai en
ent reçu une caisse pleine de balais et de plumeaux de toutes les cou
leur sauve la vie et il
e de ce commandant du camp où ils avaient été internés et pouvoir lu
n peut encore fab
alud dans les Valliguières, près de Bagnols-sur-Cèze (il n'y avait pas l'autoroute en ce temps-là). Lapalud dont on m'avait dit que ce petit village é
ement ce moment du voyage. C'était co
lle répétait à qui voulait bien l'écouter, « Je comprends pas, je comprends pas, pourtant je me rappelle moi, quand les trains partaient du camp de Rivesaltes,
eu et chacun peut s'en donner à cœur joie sur
depuis longtemps déjà Alzheimer faisait son œuvre,
ir de rien je lui posais des questions. Je savais lui faire du bien, qu'elle en avait besoin... Et moi, cela me permettait d'en ap