La petite fille qui riait tout le temps...
x que
ol
long qu'on n'en voit pas le bout. Tout est blanc, le sol, le
ssion de portes ferm
baies vitrées donnent sur l'
re, c'est sans doute pour cel
che apparaît, qui disparaît aussitôt, tandis qu'une p
est vide, rien ne
lle pleure, elle geint, elle répète « j'ai perdu la petite fille... » « J'ai perdu la petite fille »,
avance, seule, dans le couloir d'un hôpital p
long, une fillette se tient à mes
, regarde
s mes bras, rassurée, heureuse ; je pose ma main sur sa tête, elle est apaisante... quand très vite, je m'écrie : « M
campagne et par-delà la baie vitrée, sous un très gros arbre, très sombre, très dense, comme un gr
l, dessinée à la craie
sais que c'est elle... « la petit
» avec un sourire qu'on pourrait presque dire sardonique, l'air de dire « mais oui, je suis là... mais tu sais quoi, moi, la seule chose qui m'importe c'est de m'amuser, c'est de rire, de toi, des autres,
pas perdue. Elle vivait juste cachée, juste pour son propre compte. Cach
er un peu, car de moi, des autres, elle n'en avait pas gr
e, elle avait juste l'air de dire : « J
muser, juste qu'on la
ou plutôt à lui rendre visite... la fr
vrir une porte, une fenêtre et jeter un coup d'œil à la dér
à comprendre, comment elle va, ce qu'elle pense
narde, hors du temps, et rien ne semble pouvoir la troubler... elle est
tôt pleine, remplie, sans grands bouleversements, les choses sont à leurs p
s je suis plutôt à l'aise, je sais ce qu'il faut faire et je le fais même si parfois je ne suis pas tout à fait
u'elle joue à la marelle, ce n'est p
rs, absente... comme en attente de quelque chose qui
plutôt un peu insipide, voire un peu tristounette, c'est assez ra
s le creux de sa main, le coude appuyé sur son genou, elle me regarde ! Il n'y a aucune a
sasse des choses désagréables, cela m'arrive, son message
réflexions, d'incertitudes, cela aussi
bouger le cu
sais qu'il faut que je me méfie, que je sois sur mes gardes et que,au risque de lui déplaire, je fasse attention à ne pas me laisser embarquer, attention
ité, c'est l'inaction ! Les résultats, elle s'en moque ! Elle serait pl
elle ne regardait rien ni personne, même pas à l'intérieur d
la petite fille pleurer... C'est vrai que
e je vous le
s conter là, c'est un
outes les caractéristiques d'un rêve. D'un vrai rêve. Aucune action, aucune interfér
et j'avais éprouvé (cela ne se reproduira plus jamais) le besoin de confronter mon imagina
ais lorsque j'
ttendais à ce qu'
s tout le
tte réponse
is inacc
u'il évoque une petite fil