Le dernier péril: La quête de la Morge
e de Konfardon –
? s'informe Falkor quand le jeune pr
ne. Sans vouloir vous offenser, vous avez un
n, je remercie v
re le prince en réajustant sa veste. Et te
kor. Il me serait impossible de dissimule
ventres, puisque je ne tirerai rien de vou
enancière en apercevant ses deux prest
ndant les marches. Quel plaisir d'être accueil
ou la table copieusement garnie ? Peut-être les deux après tou
onc aujourd'hui ? d
t... Mais il me sera impossible d'oublier ces quelqu
rent aux paroles du prince, et elle bredouill
e brave Gerda, le réprimande Falkor. El
rement. Ses ragoûts me resteront longtemps en mémoire. Je
s les cuisin
les cuisine
de bon cœur en pours
lles doivent être en ébullition à l'
votre père vont mettre la cité sens dessus dessous. Ne ta
ont dès lors plus apaisés, et les cicatrices des combats s'estompent tandis que la végétation reprend ses droits ; les
à Paluavin s'y fait déjà sentir, alors même que la Cité royale se trouve à plus de vingt lieues de là. Le quatre-vingt-huitième anniversaire du roi Olf allait donner lieu aux
ce et le capitaine se frayent un chemin jusqu'à une table au fond de la grande salle, où un groupe de nain
ces nains ? s'
o
gard interrogatif
vez pourta
en serais-j
que vous ne les
La diplomatie la plus élémentaire ne nous dicte-t-elle pas respect et courtoisie envers nos hô
pond laconiq
n'aime guère voir poindre de telle
d'entretenir aujourd'hui les relations avec nos alliés d'hier, afin de préserver l'avenir. L'Ombre n'est
epent le prince en se levant pour présenter à so
sque crénelé contre leur plastron, juste sous leur barbe épaisse. La scène ne passe pas inaperçue dans
idément pas la tournure
vallée ouverte sur son seul flanc ouest offre un écrin protecteur à la capitale de Konfardon,
uéry, dernière marche avant la descente vers la cité. Les gardes de facti
es deux cavaliers s'engouffrent dans la combe et en subliment les teintes et les nuances. Les toits de chaume ondulent dans une interminable vague ambrée au-dessus des maiso
oppresser, et ses somptueux toits d'ardoise-grenat qui brillent dans
éry. L'imminence de leur retour ravive le souvenir de la nuit précéd
oses à moitié, s'enthousiasme Alpuz en le so
es étendards arborés sur les toits aux côtés de l'oriflamme de Konfardon – une wyverne bleue croisée d'une dague d'émeraude. C
olles multicolores, les pavés ont été brossés pour rehausser leurs teintes pastel, les toits décorés, les façades lessivées. Pas une maison, pas une rue
ins jours,songe Falkor. Les hommes de Konfardon devaient saisir cette opportunité de montrer que le royaume
s'est figé sur le visage habituellement jovial du jeune homme. C'est en ces rares insta
l à son tour. Ils entrent ainsi en trottant dans la cour principale du palais, où ils restent stupéf
t émeraude du royaume pendent à chaque fenêtre, les fontaines déversent leurs eaux turquoise dans des bassins tapissés de feuilles d'or, d'immenses bouquets de fleu
n d'y recevoir les festivités à venir. Falkor prend bientôt congé du prince et, après a