Ombre et Lumière
et ouvrage
mais succomb
faciles et son
déaux jus
ensent que l'Ordr
ite fill
gère poursuit son combat
t un récit
tuation historique réelle p
la deuxième partie du roman et inhérentes à la Libération de la France en 1944 sont f
ont été changés mais
ol
me mais c'est le sen
s Rousseau
la France et la République Fédérale d'Allemagne du côté de Sierck-les-Bains en Lorraine, dans cette ré
ant ainsi la vallée de la Moselle dont les collines en
campagne frémit sous un beau soleil. De fines volutes de vapeur s'élèvent des champs borda
he est justement en train de passer entre les portes monumentales et plusieurs enfants désœuvrés assistent au spectacle avec intérêt
e longe des étangs presque j
rs lignes espérant ramener une pri
qui relie Thionville au Luxembourg puis, se dirigeant v
l'avant ; elle consulte une carte d'État-major et guide le conducteur. Sur la banquette arrièr
l'embranchement, dans cinq cents mètres environ,
clignotant, vire sur le petit chemin
ats, puis nous arriverons devant l'entrée principale du fort. Tu vois
ouche sur une vaste clairière fermée au bo
ères sortent de la voiture et fo
, Kurt déclare : « Je ne connais pas toutes les subtilités de la langue français
ions sont abandonnées depuis plus
ais si nous finissons la journée chez les g
ous mangerons au restaurant ce soir et j
te Céline, c'est ce que tu voulais voir ? Tu e
mon frère, je ne pensais pas avoir besoin de voyager autant mais il me fallait voir ce fort où il
des notes et des photos. Céline est impressionnée par l'imposante faça
orteresse n'a rien perdu de sa superbe et semble prête à assurer
ux blocs de combat situés à quelques centaines de mètres dans la direction du nord et toutes ses installations vi
d'y arriver. Pendant la guerre, il devait empêcher les soldats ennemis de venir déposer des charges explosives devant les créneaux de combat lors d'
igne Maginot, elle a accepté d'emmener Céline qui voulait faire une sorte de pèl
soleil ont du mal à traverser, à la recherche de fleurs. De nombreux fils de fer barbelés son
is se souvient que c'est dimanche et que les citadins de la ville la plus proche, Thi
s les environs ; deux voitures sont garées jus
t des sacs de victuailles, les enfants courent vers le blockhaus
homme qui semble être le père des enfants, c'est dange
années se tenant par le bras rejoi
e dix ans. Il s'élance dans les bras de sa grand-mère qui le reço
'être spectatrice de cette sortie familiale ; elle se dirige ver
es cris des enfants ; elle sourit et se dit que ces gens possèdent u
arder avec attention et lui demander : « Bonjour, Mad
, je suis venue avec des amis pour regarder ce fort e
la Ligne Maginot ; on vient souvent ici, plus loin il y a
savant pour t
ts de la ligne Maginot m'intéressent
encore trop petit et mes parents me surveillent mais bientôt je
ance : « Thierry, laisse cette dame tranquille et viens manger ;
, Madame, il est p
n bon petit gars, répond Bérangère, j
j'ai onze ans et je m
Lanson et je suis contente d'avoir fait
un clin d'œil et part en c
ourne les yeux vers le fort. Deux ombres surgissent sur le dessus et s'arrêtent quelques secondes
ouvé le bloc d'artillerie où a servi mon frère ; on a même pu regarder à l'intérieur car il était ouvert, si
le petit garçon qui est là-bas t'entend, il risque de f
sances ; si on partait maintenant, j'ai tous les renseignement
loin dont mon frère m'a parlé, et nous pourrons pour
aissant Thierry et sa famille continuer le