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L'imparfait du paradis

Chapitre 4 Le paradis que j'espérais

Nombre de mots : 1718    |    Mis à jour : 03/02/2021

it et comme à son habitude madame couverture et monsieur matelas me réchauffait le corps comme pour me remercier de toujours m'occuper d'eux. Ces deux là savaient

était de m'appeller à tout moment soit pour lui donner de l'eau

pas le choix que de prendre les choses en main. C'était fatiguant mais je devais le faire. Je n'avais pas de travail, je faisais des petits boulots ci et là. malgré les infinies bénédictions de maman , je n'arrivais à rien de concret. Heureusement que tout est moins cher au village et que nous avions encore nos petites plantations à l'entrée et à l'arrière de la maison. Tomates, oignons, carottes, piments, maïs, bananes, arachides ect...) je n'avais qu'à me ravitailler si besoin. Cependant la plupart de nos terres étaient délaissées, je ne m'occupais plus que des petits vivres de l'entrée

effet mais pas très enchanté de faire leur connaissance. Lorsqu'il regarda dans ma direction, je fis mine de ne pas m'interesser à lui et je retournais dans mon jardin. Pourtant, j'avais pris le soin de bien le détailler. Il était grand de taille. Assez costaud, la peau claire et bronzée. Il était à tomber par terre. J'aurais tellement voulu le dégager de toute ces filles et m'accrocher à son bras. Un bel étalon comme dans les magazines. Je le voulais pour moi mais mon orgueil ne permettait pas que je mélange à toutes ces moins que rien et parvenues. Elles ne méritaient pas de sentir mon odeur. Ça m'énervai

jour

'un homme tout simplement. Elle était grave. Grave mais douce parce qu'il se contrôlait encore sûrement ou qu'il voulait faire bonne impression. Cependant elle se démarquait des autres parce qu'elle venait de lui. j'étais agréableme

us avez besoin

tais sourde ou muette. Répondit-il. Les autres

s besoin de rien laisses

ttend.

n jeans). Ripostait une l'une d'elles. Les autres hochaient la tête pour affirmer ses dires. Elles le toisaient, s'exprimaient ouvertement leur jalousie, leur aigreur et leur h

isage. Il ajouta : j'ai besoin des filles comme toi. Belle à la peau noire et instruite. Tu m'en as tout l'air. C'est pour un défilé. Tiens cette fiche il y'a

lient donc s'il vous plait dé

s va finir un jour, prost

la route des marabouts

La rage eut raison de moi et PAM PAM!! deux jolies coups secs sur ses grosses joues. Elle ne s'était pas laissé faire et m'avait aussitôt rendu la pareille. Et c'était du venez voir allez dire. Je l'avais presque dominée lorsque ses copines s'invitèrent. J'avais reçu ma dose

ui criait la courte fille. Elle pouvait bien se

i. Cherche nous encore. C'est

s satisfaites de le

ent mais moi mon rêve devenait réel. Dieu avait avait enfin exaucé nos prières. Je regardais le ciel. Toute heureuse je disais : « Fifi tu as vu, notre rêve va se réaliser ». Maman et tante Sophie étaient heureuse pour moi. Ma vie allait changer. Je lisais la fiche. C'était une agence de mode au nom de *Blackqueen fashion* située loin dans la ville. Pour rien au m

n route. Je m'étais même presque perdue. Mais h

oyais pas mes yeux. C'était magique pour moi. Je me voyais déja sur le podium entrain de captiver tous les regards, les caméras braquées sur moi. Je m'étais fondue dans ce décor

su

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