Un amour tragique
ce de suivre mes cours. Il me suffisait juste de demander à manger auprès des personnes que je connaissais et en particulier mon meilleur ami. Ce dernier m'aidait beaucoup et parfois il me donnait des petites sommes de poche. J'aimais mes parents malgré le fait que l'un était malade et l'autre prenait soin de moi. Ma mère fournissait touts ses efforts afin que j'étudie mais les moyens ne la permettait pas de le fai
ntelligent, très doué et surtout apprécié par ses enseignants. Mais le destin ne voulait jamais que je continu
e, elle est trop courageuse et capable de faire n'importe quoi pour gagner sa vie. Les cris de moqueries et les injures qui ne cessaient de tomber sur elle tous les soirs, provenant de nos voisines, des certains membres de
rêver? Ne sais-tu pas qu'il e
ut, c'était ma mère, celle qui e
électrisé vu que j'étais réellement dans mes r
ans les pensées , lève toi de ton l
sa présence. Elle était
faite que c'est toujours moi le premier élève à être renvoyé pour les frais de
es diverses réalités qui font souvent couler des larmes et il faut être patie
je ne voulais plus lui faire penser au
nant rentrer. J'irai à l'
afin d'aller aux cours. À ma sortie, je trouvai papa au salon entrain de lire
! seigneur, c'est qu'elle genre de vie ça! C'est avec un grand regret que je rentre chez moi.
ue mon meilleur ami, le regret n'en parlons même pas et c'était ainsi tous les jours jusqu'à ce que
rien de cette vie
e manque comment continuer mes études! c'est n
ers mon père, je voulais savoir
ertaines choses. Dis-je en pr
fils. Répondit-i
soupires avant
u, je ne vais plus à l'école juste pour l'argent. Papa, vous devez travailler afin de bien élever ma vie! P
parce que j'étais souffrant. Dans trois mois, je vai
accord
rit la direction
ère arriva et venus me
re, vous êtes
s déjà là. Pourquoi tu es
re, je me r
et je sais pourquoi tu es seul dans ta cham
our moi! Je ne pense pas à ça
rejoins moi afin d
e. Dis-je en me
oses à faire. D'où j'avais décidé de la venir en aide. Apr
*
eurs études primaires en classe de troisième. La vie de son ami le rend triste et parfois mal à l'aise. S'imaginant comme
x OSOF
es parents n'ont des moyens. Le pire dans tous cela est que son père est souffrant et sa santé v
elqu'un te c
n me cherchait. Je sortais tout impatient de voir q
tu es venu me v
ien à faire, qui d'autres dois
mon frère. Entr
n, ma mère nous apporta quelqu
de manger quand j
u as abandonné les cours. Lui
tu sais comment est la si
es encore jeune et tu vas étudier jusqu
on frère. J'ai
et à nous donner des conseils, et après
était aussi soucieuse en apprenant cette triste nouvelle. Mais je me metta
arlo
avant que le sommeil nous emportent. Je me retrouvais sur mon lit en train de réfléchir au lieu de me coucher. Ça venait de soi, même si je ne voulais pas penser. Il me suffisait juste d'être seul et que ces pensées me v
Carl
ois ci je suis un peu surpris de la voir prête d'aller au marché car c'
tes la maison à cette heure?
es à faire au marché aujourd'hui
n'ai même pas
ois aussi m'accompagner à la boutique
d mère. Bon
pareilleme
pourrait le prendre en dormant jusqu'à cette heure. Après quelques minutes, je lui vois sortir de sa chambre tout joyeux comme jamai
aujourd'hui? D'habitude vous n'êtes pas comme
re aux coins des ses lèv
u ne peut imagi
jà à mon reto
is plus deviner. Dis-je avec
déjà devenu un homme très riche et très célèbre et tu avais plusieurs voitures.
nre de rêves ça
nt peut tu me dire ça alors que tu ne fourni aucun eff
étonné et sur
s juste que je ferai tout pour que tu rentres à
ois. Mais jusqu'à
ndre. Mes questions devaien
temps de Dieu mon fils.
vais prendre
is déjà fini et j'y sortai pour porter d'autres habits et rejoindre ma mère au marché vu
los? Me demanda t-
ché, rejoi
lle t'a demandé
s comme je ne fais rien de s
D'ac
yer même un taxi moto. Donc j'étais obligé de faire les pieds
demain non. tu viens aujourd'
à faire à la maison et c'est
mon garçon, prend pl
me montrer quelques indicatio
roblème mo
tre boutique grandissait du jour au jour, surtout qu
.
MOIS PLU
entiel de nos provisions était mon retour à l'école. Mais je ne savais pas que j'allais vivre la pire de chose. C'était à deux mois de la rentrée que quelque chose qui nous avaient tous détériorer arriva: On avaient volé toutes les économie
e? Si tout ce qui nous donnaient sens à cette vie était détruit. Je ne faisais que consoler ma mère qui ne
e tristesse dans ses yeux, elle était sûrement en
urs mais ce coup m'avait affaibli en toute sorte, je n'av