Moi sa chose non ! Mais au final oui...
tre en retard en cours, me
tranquillement. Je sors de la douche, m'habille, brosse rapidement mes mèches, me fait une queue de cheval. Je regarde l'heure : il est 8h58. Je prends mon sac Adidas et je descends. Arrivée au rez-de-chaussée, étant donné que chez moi toutes les chambres et salle de bains sont à l'étage et donc le res
bonjour Charles
que le verbe n'existe pas. Mais moi je fais tout le temps évo
ine hier Clara, m'engueule ma mère pr
e impatience j'attends mes 18 ans. Bon je dois y aller sinon, je n
et me prépare à dé
mène, ce sera plus
ssez tendus. Je n'arrive toujours pas à l'accepter dans la famille. C'
a vous pourrez discuter ens
pas comme si j'avais le choix. J'ai touj
t 9h05. Nous vivons dans la banlieue de Paris. Mais pas trop loin du centre-vill
hez nous les noirs, si tes parents disent "a" tu dois faire "a". Donc le truc qui conci
le but d'éviter toute discussion avec Charles. Arrivés devant l'école, je saute de sa voiture s
. Merci de m'avoir emmenée et
je sais et ma mère et moi en avons déjà parlé. Mais
ne journée, me dit-il
s le sens d'orientation, je cherche pendant 15 minutes la salle. Quand quelqu'un m'indique finalement, je cogne à la porte, avant d'entrer dans la classe. Je suis devant environ une trentaine
n se dépêche mademoiselle.
2 bonnes tailles de plus que moi, je suis obligée de lever les yeu
reluquer de cette manière
uand même honteuse. Je me dépêche de m'asseoir à une place libre au premier rang. Il monte sur son estrade. Mais qu'est-ce qu'il est be
aye la classe du regard et fige son regard sur moi. Une dernière chose, je n'accepterais plus aucun retard ! Plus aucun ! Ai-je bien été clair, mademoiselle ? Je baisse la tête, en murmurant un petit oui.
t, tellement sa voix me transporte. La sonnerie retentit. Tout le monde ramasse ses
que nos regards se croisent. Son regard de glace m'embrase. Je déglutis péniblement. Ensuite, il me chuchote aux creux des oreilles : Je vous ai demandé de rester pour