Un loup hors du commun
ne se sentait pas le moindre du monde attiré par la gent féminine, mais plus par la gent masculine. Suite à ses révélatio
eries une petite ville située au Hainaut en Belgique. Il a très vite compris qu'il
un petit emploi de nuit en tant que serveur, mais dû à son ma
ais sans grand succès et puis il n'a que dix-sept ans.
guliers et souvent ses clients lui laissait un peu plus d'argent que nécessaire. Bien sûr, il n'allait pas s'en plaindre, grâce à ça, il peu
ait toujours, au moins ça lui permettait de ne pas devoir passer l
uelle, là où il a l'habitude de passer ces nuits et d'attendre que le jour se lève enfin. Tobias passe s
ir son sac posé juste à côté de lui qu'il f
secondes auparavant. Il ouvre les yeux et trois grands hommes baraqués se trouve juste devant lui. Le regard hai
imes tant que ça de
n visage, il n'arrive même plus à ouvrir l'œil gauche. Il en déduit qu'il doit certainement avoir un œil au beurre noir. Il essai tant bien que mal de protéger son visage, mais sans grand succès. Les trois hommes continus de s'acharne
une belle couleur aubergine, il tourne sa tête vers la gauche et voit une petite table de nuit couleur noire, il y a une petite lampe de chevet posé dessus. À sa droite se trouve une autre petite
tout doucement et qu'un grand homme passe sa tête dans l'entrebâillement de celle-ci. Par peur Tobias enfui sa tê
pplie ne me fai
je ne te veux aucun mal
me est grand, il doit au moins faire un mètre quatre-vingts se dit Tobias, il a aussi de très beaux yeux
pendant quelques minutes de plus d'admirer l'homme qui se trouve toujours
nt te s
cotes elles me font énormément souffrir, mais qui êtes-v
der, c'est mon fils Jordan qui t'as ramené ici chez moi alors que tu te faisais
u'il parle de mon agression, mais très vite je me reprends et je mets ça sur le
omment t'a
ner un peu avant de rentrer chez moi, mais
, ils doivent être morts d'inquiétude après deux jours entiers sans la
re. Je tourne la tête à droite, mais il y a un mur à ma gauche se trouve des escaliers, je me dirige vers eux et je descends au rythme que mon corp
eux bras musclés encercle ma taille et mon dos se retrouve collé contre un
! Lâch
e ne peux pas t
Je veux rentrer ch
mmencer, tu vas me dire toute la vérité et uni
é de vendre son corps à de parfaits inconnus. Alors pour la première fois depuis très longtemps, il s'abandonne dans les bras de cet inconnu qui l'enlace tendrement par la taille. Il sa
omme ça pendant plusieurs minutes à se regarder dans le blanc des yeux sans qu'aucun d'eux ne brise le silence qui les entoure. Pas ce silenc
er nous installer dans le salon et tu vas tout m
... d'a
Tobias est étonné, son regard se pose directement sur le grand écran pl
e la pièce il y a une petite table de salon e
qui flotte dans l'air. C'est en tournant sa tête vers la droite q
rière et il se retrouve assis dans l'
ommences à parler, tu veu
un verre d'ea
te chercher ça
quelques minutes plus tard avec un plateau où était posé deux verres et une carafe d'eau. Il dépo
mon garçon et souviens-to
ssion je t'ai menti,
ue tu faisais dehor
e sortir de c
t ? Tu es
un vendeur, c'est un
r c'est quoi ce
je... je vends mon
UOI
quinze ans, j'ai avoué à mes parents que j'étais gay. Suite à ça, ils m'ont foutu à la porte sans la moindre hésitation avec pour seul bagage : un sac à dos avec quelques vêt
me disaient que j'étais trop jeune pour travailler. Alors... Tobias ferme les yeux
urs secondes, il
é à avoir des clients réguliers. En échange de mon corps eux me donnaient de l'argent, parfois certains d'entre eux me laissaient passer la nuit à leurs côtés. Cela me permettait de ne pas dormir dans la rue. Cett
haine et aussi de la tristesse, mais aussi autre chose, mais il ne sait pas quoi exactement. L'atmosphère auto
tainement être dégouté, mais n
sa taille. Un souffle chaud se fait sentir dans son cou et des lèvres viennent se mettre
seras en sécurité tu auras un lit, un repas et je ne veux plus jamais que tu ven
oite de Tobias. Il peut sortir combien Tobias et excité par ce rapprochement si... soudain
'est d'accor
moi dans la cuisine, nous allons te nourr
e casserole et fait réchauffer de la sauce tomate avec un peu d'haché. Au bout d'un quart d'heure le repas est prêt. Nous nous installons à table et nous commençons à manger. To
oi qui t'as ramené ici. Je m'appelle
ends immé
e m'avoir sauvé, sans toi, je ne sais pas si
ends pas que de nos jours des gen
la rage... Mais pourquoi ? Aurait-il fait quelque chose qui pourrait justifier cette rage dans le regard de son père ? Je pense qu'il a cert