L'autel brisé, un amour trahi.
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é Damien m'a demandé de marquer une autre femme, Laurine
vérité : il l'avait déjà m
vait été aveuglé par ses mensonges, croyant qu'elle lui avait sauvé la vie
l a annulé notre rituel p
sceller pour l'éternité, anéantis par une tra
nnulé. J'ai accepté un poste prestigieux en Suisse et je suis pa
pit
marques Laurine. Temporair
atement un brin de jasmin frais sur son oreiller, s'arrêta en plein vol. Le parfum doux et enivrant de la fleur, censé apporter d
sant de traiter l'information. « Quo
. Une marque temporaire pourrait la stabiliser. » Ses yeux, habituellement si tendres, étaient
smin glissa de mes doigts, atterrissant sans bruit sur le tapis en soie. Cette fleur symbolisait la pureté de notre union, le lien sacré
ant mon estomac. Mon corps trembla si
t le sien. « Comment peut-elle être mourante ? Je l'ai v
« Les choses ont changé. Sa santé s'est dét
ce que j'entendais. La marque ! C'était le symbole le plus intime et irrévocable de
froide dans ses yeux. « Elle m'a sauvé la
ots empreints d'une colère grandissante. « Tu lui
Un mois, le temps que son énergie se stabilise. Après, elle disparaîtra. Notre liaiso
y aura plus de liaison. » Ma v
est une nécessité. » Un frisson me parcourut l'échine. La nuit suivante,
lacé. Je savais ce qui allait arriver. Le portail d'entrée de notre do
erre tombale. Il fit le tour du véhicule et tendit la main à une
s protecteur autour de sa taille. La vue me donna la nausée. La tendresse dans son regard quand il lui
tèrent jusqu'au dernier étage. Le penthouse. Notre penthouse, celui que Damien et moi avio
ttendais dans le salon, ma tasse de thé toujo
Ma voix était étrangement
onchalance. « Elle est fatig
endroit idéal pour ça, n'est-ce
d. « Ce n'est que
pprochai de lui. « Où étais-t
J'ai géré une crise à la
Toute la
t plus compliqué que
chaque fibre de son être. C'était une aiguille empoisonnée perçant ma poitrine, atteignant mon âme. Mes entrailles se tordirent, une douleur atroce me subme
on autorisation po
ma permission ? » Ma voix
nir les larmes qui montaient
prends. Sa vie était en jeu
ain. « J'ai bes
! » dit-il avec urgenc
rtit, vêtue d'une robe de soie fluide, ses cheveux blonds légèrement ondulés, ses yeux
ais sucrée, son regard croisant le mien avec un