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Brisée mais jamais vaincue

Chapitre 2 

Nombre de mots : 1265    |    Mis à jour : 18/12/2025

ICE

tal était un refuge stérile, loin du tumulte de ma vie. Je me suis sentie flotter,

des magazines, et parlait d'une voix calme, sans jamais me forcer. Il s'assurait que j'

ion, « Dois-je contacter Antoine ?

« Non. Il n'a plus rien à savoir. » Ma voix était un murmure, mais l

rd, un léger rougissement sur ses joues. Il s'est raclé la gorg

. Je n'aurais pas dû p

èvres. « Non, c'est moi qui suis désolée. Je

'impose rien, Clarice. Vous êtes mon amie, ma voisine. Et vous traverse

it fustigé ma faiblesse, Ba

ré. Un message d'An

i à mes côtés. » Pas un mot d'inquiétude, juste

. Une petite broche fantaisie, un cœur en plastiqu

à mes goûts. J'ai scrollé, mon doigt tremblant. Sur le compte de Pénélope, une autre photo. Un colli

e broche que celle qu'Antoine lui avait offerte il y a quelques mois, et qu'ell

ique. « Garde ton cœur en plastique, An

Comment oses-tu me parler ainsi ? Je suis ton mari ! Je t'offre un ca

s propres rêves pour ta carrière ! J'ai passé des années à te soutenir, à fai

ie ! » a-t-il hurlé. « Tu as

ecture que j'avais dû abandonner, les projets passionnants que j'avais mis

e idée de ce que

zines. Antoine a entendu sa voix. « Qui est là ? » Le ton de mon mari est

n, mon voisin. » J'ai e

ran. « Fais-le partir immédiatement ! J

ne. » J'ai craché les mots.

n'as rien trouvé de mieux pour attirer l'attention ? Tu es prête à

, Antoine. » Ma v

nt. Tu sais que je ne veux pas d'enfants. Tu as toujours

r mon ventre vide. Le sang

a vie qui n'était plus là, pour l'espoir qui avait été si v

Pour la première fois de ma vie,

ines de messages. Des insultes. Des menaces. J'ai éteint mon téléphone

'hôpital. Bastien m'attendait. « Je peux vous ramen

prendre un taxi. » Je ne voula

l a souri. « C'est la

enir me chercher, prétextant une réunion « trop importante ». Une ré

vers la sortie, une silhouette

'a vue avec Bastien, son visage s'est tordu de rage. Il a bondi su

oquée. « Lâche-

là ? » Il a craché à Bas

ien a répondu calmement, mais une lu

me faisant presque trébucher. « Elle doit rentrer à la

nourriture avariée était ma faute. « Tu es in

mais pour me réprimander, pour me rabaisser. Mes yeux se sont remplis de larmes, mais je ne l

uche, et tu me parles de divorce ? » Il

j'ai levé une main pour l'arrêter. Je

ns un regard en arrière. Je me suis sentie comme une prisonniè

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