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La trahison la plus cruelle de sa bien-aimée

Chapitre 2 

Nombre de mots : 1316    |    Mis à jour : 18/12/2025

e de Camill

veaux visages, de nouvelles règles, et d'une opulence suffocante qui semblait étrangère à mes mains endurcies par la rue. Il ne m'a pas oub

a mère, la matriarche du clan, avait ouvertement ricané, ses yeux balayant mes vêtements simples, un contraste fr

it pensé, pendant un temps. Il y avait dans ses yeux une protection féroce qui me faisait le croire chaque fois qu'il déclinait un autre dîner arrangé ou ignorait un autre événement mondain conçu pour le

ana est

te que les miens, contenaient une vulnérabilité qui captivait tout le monde. Mais alors que nos regards se sont croisés à travers la pièce bondée, un

te main agrippant le doigt d'une femme élégante, ses yeux grands et pleins d'espoir. J'avais souri, un sourire faux et fragile, et je lui avais dit que tout irait bi

a haute société. Elle ne m'a pas reconnue, pas même une lueur de souvenir dans ses yeux. C'était une nouvelle blessure, mais une blessure à laquelle je m'attend

pour elle, pas vraiment. Mais pour le fantôme de la petite

re jouait sur ses lèvres, une nouvelle sorte de chaleur dans ses yeux. C'était une chaleur qui

ois solides comme le roc, se sont transformées en sables mouvants. « J'ai quelque chose d'important

dans le jardin, leurs têtes proches, sa main délicate posée sur son bras. Un dîner tranquille dans un restau

e l'avait endurci, mais le pouvoir avait ramolli sa détermination, brouillé ses loyautés. Il n'était plu

qu'il convoitait maintenant, un monde auquel je ne pourrais jamais vraiment appartenir. Diana, avec ses manières policées et son père s

riser. Je savais ce que je devais faire. Je devais partir. Je devais disparaître, pas seulement pour moi, mais pour elle, pour Diana. C'était le seul

gitation habituelle du personnel semblait amplifiée, une symphonie disco

nsieur Baptiste... i

e Diana ! D'un règlement

e scène de chaos contrôlé. Des hommes en costume avec des armes couraient, leurs visages marqués par la fureur. Et là, sur un lit de fortune, gisait Baptiste. So

un son rauque et primal. J'ai bouscu

... elle est logée profondément. Il faut la retirer immédiate

puis le médecin. « Pas de sédatifs. Faites-le... c'est tout. Je dois savoir... Dian

ait des nouvelles d'elle. Pas de lui-même, pas de la do

pas si lointaine, où une simple égratignure sur mon bras le mettait dans une frénésie d'inquiétude. Il s'agitait autour de moi, ses yeux remplis d'une tendresse qui appartenait maint

ire de Baptiste s'est crispée. Un cri aigu et guttural s'est échappé de ses l

souffle, il a de nouveau murmuré :

urbillonné aux bords de ma vision. Baptiste, le visage tordu de douleur, a finalement succombé à l'inco

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