Poignardée par l'homme que j'aimais
HARRI
ienna, me donnait la nausée. J'ai erré dans les rues de Paris, le froid mor
a vibré. Ma
à la maison ?" Sa voix
Je suis enc
s eu une longue journée. Il
t'inquiète pas. Je prends un taxi. Je... j'ai beso
. Loin de leurs mensong
rée. Trop éclairée. Mon cœur a de nouveau martelé ma poit
vu Sienna. Elle sortait de MA cha
angereusement calme. "Qu'est-c
h, Lys ! Je t'attendais. Nicolas m'a
es affaires. Mon sanc
je crié, la rag
qui se passe encore, Lys ?
ma chambre ! Av
voix pleine de fausse innocence. "Et bientôt, la m
. "Dis-lui. Dis-lui qu'elle n'a pas le droit
ma femme, Lys. Elle est libre d'al
maison. Personne n'avait jamais violé mon espace. Nicolas,
elle. Je voulais juste l'aider. J'ai vu tes vieilles chemises, celles que tu la
quelques affaires chez moi, une habitude de notre enfan
taient ouverts, mes vêtements éparpillés. Et sur mo
fait ?" ai-je demandé
, je suis tellement désolée ! J'ai trébuché, et tout es
" était u
a rage me brûlant les poumons. "Comme le
e désordre, puis ses yeux se sont posés sur
à être stressée. Sienna fait de son mieu
ncrédule. "Elle a dévasté ma chambre
, son ton condescendant. "Je te rembourserai pour
argent. Comme si tout pouva
dé, une douleur aiguille me transperçant le cœur. "Tu crois
ement secoué la tête, comme s
e a vibré. R
part demain soir. As-tu pu
rmuré, ma voix étranglé
tête. "Grasse ? De
rler à Roger. "Je vais tenter de les re