L'ultime tromperie de mon fiancé
ta des fleurs, me lut des livres qui m'étaient indifférents et tenta d'engager la conversation. Sa présence, au lieu d'être réconfor
il un après-midi, sa voix empreinte d'une inquiét
, le regard fixé sur la fenêtre de l'hôpital. «
n artiste vibrante. Mais je n'ai jamais vraiment été son joker. J'étais juste le substitut bon marché, l
ion. « Tais-toi, Clarisse ! » hurlait-il, son visage tordu de colère. « Tu agis comme une
ttachée au lit, bâillonnée avec un foulard, et m'avait laissée là. Il n'était revenu que le lendemain matin. J'avais réussi à me libérer, mais la maison avait pris feu à cause d'un fil défectueux dans la cuisine. J'ai failli mourir. Les voisins m'avaient
de fertilité sans fin. Je suis tombée enceinte. De jumeaux. À haut risque, mais viables. Et puis, sur la suggest
t coupé le dernier fil
eter. « Punis-moi, Clarisse », plaida-t-il, des larmes brillant da
ait disparu. Les petits battements de cœur, les rêves que nous avions tissés, l'a
itude m'envahissant. « Va faire ce que tu as à faire. »
garda, une question dans les ye
te. « Je ne suis pas en colère. » Le
qu'il avait gardé éteint ces deux derniers jours. Dès qu'il s'alluma, il explosa de notificatio
n de la porte. « Il y a eu un imprévu. Une urgence au bur
bre satisfaction s'installant dans ma poit
eversé, s'accrochant à un cadre de l'entreprise d'Antoine, avec une légende sur des « forces malveillantes essayant de détruire les b
er et lourd. Je me suis dirigée vers la fenêtre ouverte et, sans une seconde d'hésitation, je l'ai jetée. Elle a scin