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L'ultime tromperie de mon fiancé

Chapitre 2 

Nombre de mots : 1117    |    Mis à jour : 15/12/2025

t visiblement détendues, comme si un grand fardeau avait été levé. La comédie étai

l, sa voix sèche. « Si tu n

u'il venait de prendre, mais mon visage était maintenant délibérément flou, une tache méconnaissable à côté de son profil parfaitement compo

mes lèvres. Il était si transpa

phone de la table de chevet. Ses doigts ont volé

je demandé, ma voix à peine un

a, mais j'étais trop faible, trop abasourdie pour bo

e. « Je me suis excusé pour toi. Et je lui ai dit que je lui préparerais s

le. « Tellement désolée pour le malentendu, Annabelle. J'espère que tu v

e d'Annabelle : « Oh, Clarisse ! Tu es trop mignonne.

blagues privées, tout ça via mon téléphone. Je les regardais, deux étrangers conversant, comme si je n'étais même pas dans la pièce, c

t que j'étais encore faible, que je saignais encore, que j'étais encore sous le choc du curetage. Mon corps me faisa

r Stephenson, les papiers de sortie sont prêts. Mais Madame Joyce est

oin de se reposer à la maison. » Il se dirigea vers le comptoir, signant déjà les papiers.

tervention en ambulatoire le mois dernier, et c'était une fraction de ce prix. »

e. Mon souffle se coupa dans ma gorge. Je le fixais, mon cœur ba

nt légèrement. J'ai sorti ma carte de crédit

vers Antoine, sa voix empreinte d'une colère à peine voilée. « Monsieur Stephenson, votre fiancé

. « Et qui êtes-vous pour me parler des soins de ma

e à l'infirmière, forçant un faibl

et meurtrière. « Allons-y », gronda-t-il,

udente ! » cria l'infirmière derrière moi

« C'était quoi, ça ? » siffla-t-il, me tirant dans une alcôve isolée près des ascenseurs. «

x grands ouverts. « Je ne me plaign

toire larmoyante sur comment je t'ai 'forcée' à faire ça ? » Se

dit, Antoine. Ce n

était empreinte d'un calme troublant, un avertissement. « Parce que c'est

. « Non, Antoine. Je ne suis pas en col

ait. « Très bien. » Il tourna les

on abdomen me lançait à chaque pas. Antoine ne regarda pas en arri

r le bord du trottoir. Il monta, le moteur vrombissant. J'étais presqu

embardée en avant. Ma main glissa. J'ai per

e trottoir. Une douleur fulgurante a explosé

du sa voix, lointaine et étouffée. « Clarisse ? Oh, pour

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