L'Île, mon Nouveau Destin Amoureux
ANCE
s yeux écarquillés, m'a regardée comme si j'étais folle. Mélisse, blottie cont
-t-il répété, s
re, le silence r
le ne tombe réellement ? Si tu veux la vérité, on n'a qu'à demander les images d
a rougi
mie ! Elle ne mentirait jamais ! Et
s, a tendu une main
s grave. Laisse tomber. Je ne veux pas que
rôle de la victime. Elle ne voulait pas d
stance ! a répété Gauva
air et froid. Je ne m'excuserai
our avoir existé ? J'étais fatiguée de me soumettre à ses caprices, à ses
se tenant le ven
sens vraiment pas bien
rrée contre lui, son visage a
rgences, mon
d. Je les ai regardés s'éloigner, la scène se rejouant sous mes yeux, encore et encore. Une performance bien rodée. La doul
t la manipulation, ai-je pensé, une amère lucidité m'envah
as un appel. J'ai imaginé la scène : il était à ses côtés, à l'hôpital, l
artons étaient prêts, les meubles à vendre. Il ne restait
ge était sombre, fatigué, mais son regard était dur. Il
se et menaçante. La laisser seule à l'hôpital, après
Moi ? Après tout ce que j'ai fai
je répondu, ma voix tremblante de colère
date du mariage encerclée, barrée. Il a vu le vide. Un éclair
pide. On s'est emportés. Mais on peut arranger ça. Le
utour de lui, un air
. On ira où tu veux
urire amer. La lune de miel.
ement égocentrique. Il ne voyait pas ce que j'étais dev
emandé, sa voix suppli
ration. Je devais le lui dir
il faut que
it Mélisse. Gauvain l'a sais
amour ? T
visage se torda
te. J'arrive. Ne
regard tourné vers
in de moi. Je serai de retour le
e, les mots bloqués dans ma gorge. Le j
le sol froid, au milie
vain, ai-je murmuré au silen
i pas dormi. Au lever du soleil, mon téléphone a
ement, qu'il ne verrait plus jamais de la même façon. J'ai pris u
fiançailles que j'avais retirée. J'ai attrapé mon sac et mon passe
mes yeux fixant la route deva
vant. Je ne suis plus Constance S