De l'Assistante à la Princesse Divine
on
transperça, comme si une lame invisible avait lacéré mon cœur, mon âme. Je tombais à genoux, mes mains serrées sur ma p
a-t-elle, mais sa voix me parvint lointa
connexion. Nous ne nous reverrons plus jamais. Ne me cherche pas. Je ne serai plus là. Les mots
connexion invisible, l'intuition que j'avais toujours eue avec Margaux,
om de Marc, se précipita dans la chambre
lui. « Margaux ! Où est Margaux ?! » Ma
épondit Marc, l'air grave. « Ell
est avec moi. Elle a juste besoin de se calmer après ce matin. C'est une femme, ell
me. « Elle est partie avec toutes ses affair
lle n'a nulle part où aller. Elle... elle ne peut pas vivre sans moi. » L'arroga
ma voix pleine de fureur. « Tais-toi ! Elle ne peut pas être
entie auparavant, commençait à s'insinuer en moi. Et s
uleur fulgurante. « Sortons d'ici ! Ram
urdissant qui accueillait mon arrivée était plus effrayant que n'importe quel b
elle travaillait, ses livres, ses vêtements, tout avait disparu. Il ne restait, sur la cheminée, qu'une pile de cendre
e lettre. Mon nom, écrit de sa main élégante, trembla
so
as piétiné, mais qui nous unissait plus profondément que tu ne l'as jamais su. Tu
ragile qui te manipulait avec une habileté que tu n'as jamais décelée. Cinq ans à te voir préférer ses urgences fabriquées à ma dignité, à notre
ouderc. L'héritière de l'un des plus grands empires du luxe au monde. L'investisseur anonyme qui a maintenu ta start-up à flot toutes
te sentir un sauveur, plutôt que la réalité d'un amour véritable. Ce n'était pas moi qui é
ce, c'est une réalité. Je suis de retour dans mon monde. Et
u, J
ux Co
vide. Mes yeux balayaient les mots : Margaux Couderc. L'héritière de l'un d
aires aiguisé, son élégance discrète... tout prenait un sens nouveau, un sens terrifiant. Je l'avais traitée c
ense qu'elle me coupa le souffle. Je venais de jeter la femme la plus précieuse que j'aurais ja
nne. Ses mots résonnai
t. « Margaux ! Margaux ! » Je courus dans les rues, désespéré, cher
genoux sur le trottoir, les mains serrées sur ma tête. La perte n'était pas juste une notion, elle était physique, dév