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Orphée d'amour

Chapitre 3 L'angoisse de Azoumi

Nombre de mots : 3385    |    Mis à jour : 13/12/2021

rebrousse chemin dans un enthousiasme mélangé de la nostalgie de Azoumi. Il avait pris goût à la présence de la jeune fille et ne souhaiter que rester avec cette dern

ui la séparait de Percé, Azoumi fut

viens demanda avec

mon prince répondit

t du marché avec un

e un ami qui m

pour toi continua le pri

stions. Vous êtes mon prince mais cela ne fait pas de vous mon père

ui tu adresse

la sagesse ne trahit pas votre morale, vous me donnerai raison. Il faud

rs où besoin se fait entendre. Elle voue à tout le monde tout le respect mais elle devient méconnaissable quand le degré de certaine situation déborde les limites de la raison. Son caractère restait éc

n’était pas là. Dans la cuisine battue en terre cuite et couverte de chaume, une gigantesque fumée sortait. L

tout ce temps ? Tu m’

e mère. J’ét

son histoire dont elle prenait le grand plaisir de narrer. La mère la fixa aussi profondément comme pour discerner une anomalie pas trop grave dans les propos de sa fille. E

oouuumm

i qui savait correctement que la d

ne te pl

idées radotées ? Nous ne nous connaisso

s la réponse

me plait pas. Tu peux ê

chent rarement au bon moment. Intérêt soit-il que rien de ce que je pense n’éc

n conscience de

croire à ta

plus folle de la vie. Elle se lava dans un enthousiasme, souriant à la belle étoile qui flamboyait grâce à la lune. La nature pouvait sentit en ce moment précis le batte

u matin, il ne remettait pieds à cette heure précise. Pendant que la famille était perplexe, le jeune homme se vautra dans un enthousiasme qui ne connaissait pas son nom. Percé

e chemin de la bonne humeur demanda Co

non demanda iro

autres pères-dieux qui lui ont fait finale

tre aubaine ce soir,

grand sanglier Percé vociférait sur vous son

quille car ta langue, j’ai souvenance

epuis des années. L’ambiance amplifiait à chaque fois que tout le monde répondait pré

erc

lé avec une mauvaise humeur comme si j’avais connu la tristesse à la veillée.

Voilà comment je veux que

ce sourire que tu as dem

t, je me suis rendu dans une forêt pour une communication direct

e faire peur là lais

rette c'est moi

eviens monstre

us laisse pour rejoindre ma re

nous faire sortir ce soir

erbalisation et souffrez si elle ne vous suffit p

mi lui revint et il sourit à toutes les choses dites pendant leur rencontre. À voir son regard suspendu

mense caverne d’atouts emblématiques de ce corps. Et les seins tendus sous l’influence de la jeunesse laissaient apparaître les mamelons pointus sans le stimulus de la concupiscence. La hanche tendre, molle et velouté divaguait ici et là, soutenue par deux saillies rondes, potelées et fermes qui répondaient sans caprice à mouvoir quand une jambe de délice meut. Lecteur, il faut le dire, même les impuissants ne pouvaient retenir la perte de la notion de leur troisième et humble pied. Ce corps appartenait à Azoumi qui se

é ce soir ma ch

isqu'elle commence par sentir sa di

d’idée radotée. Je danse pa

e, il y a un autr

ques. Laissez-moi respirer avec vos diff

e de celles précédentes. Elle émane d’un

r selon les propos de ma mère ce soir, je s

pas comprendre que tu es plus

nce. Je dis et je répète que c'est le

a candeur de vos corps dit Azoumi en

es mots doux. C’était cela l’ambiance de la campagne car par pudeur, les rencontres amoureuses se font uniquement dans la nuit. La journée se passait dans de brèves litanies de bonjour et bonsoir. Mais la nuit était le moment opportun pendant laquelle l’obsc

! S’il te plait

es mêmes choses, il vaut mieux

je m’envoie désoler car ce n’est de ma volonté que viennent mes sentiments que j’éprouve pour t

id. Je comprends effectivement le martyr qui t’assail

corriger. Rappelle-toi de nos moments partagés en cour de route pour l’école, je t’aimais et je voulais attendre le meilleur mom

que j’ai pour toi est différent. Tu es comme un frère que je n’ai pas eu. Je me réjouis de t’avoir eu en ma vie. L’amour que tu me réclames est loin d’être ce que je ressens pour toi. Je ne veux pas te blesser en jouant ave

ant ose te deman

y a certaines réalités de notre vie qui doivent être to

moi j'augmentais tes peines a

t sur la conscience qu’un bel homme a succombé sous mon charme. Aziz, l'échec n'est pas la fin de la réussit. Bien évidemment, c’es

du cœur d’un homme ne s’effa

s mon

utes pleines d’extase dans une débordante et grande douceur de ce corps. Azoumi se sépare de lui et s'en alla dans un silence peu de temps après. Aziz, n'ayan

plus concevoir et ils s’acharnaient depuis toujours à mettre la vie de leur unique fille sur la droite ligne de la bonne morale et d’une meilleure éducation. La frustrante situation avait fait effet sur eux mais au fil du temps, la raison prit possession d’eux et la certitude de la vraie réalité fut un dogme. La consolation leur donna la saveur de

ste vérité concernant l’arrestation de son père, elle laissa tomber dans un fracas brouillant sa bassine et détala vers le village avec des pleurs. Il faut le savoir lecteur qu’une arrestation n’a jamais été de bon augure dans ce village. C’était la mort qui s’en suivait surtout quand l’ordre d’arrestation venait de la part du roi. Pour s’édifier, Azoumi alla fouiller dans les chambres de ses parents et ne vit personne. Elle retourne chez elle, laissa tomber sa camisole ceinte à la hanche offrant ainsi une partie de son intimité à la chambre. Elle se vêtit d’une autre camisole d’immenses prix. Elle décupla le nombre de perle autour de sa hanche, attacha autour de sa tête, ses bras, son tibia des perles de cauris. Elle jette un coup d’œil sur le mur et prit la queue blanche d’un c

e Azoumi était à genoux, les mains ligotées comme des voleur

n’êtes pas informés que votre fill

ce village et nous n’inculquerons jamais de mauvaises conduites à

ts en doute

ersible de mettre en doute vos reproches. Nous les acceptons en effet

’avez-vous réellement inculquée les bonnes mœurs car son gest

illites et de vos reproches nos priorités dans l’éducation de notre

nt émane toujours de ses parents. Vous répondrez de vos actes en ch

t pourquoi depuis longtemps, sa majesté, j’ai ma bouche cousue mais veillez-vous nourri

l’écoute et

s faits qui vont à l’encontre du prince. Elle est docile et j’ai la ferme convict

la parole dans les assises. Garde décapitez moi la tête

dre aux desiderata du roi, un tambour retentit au seuil de la cour royale. Les yeu

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