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Orphée d'amour

Chapitre 2 Amour naissant

Nombre de mots : 3431    |    Mis à jour : 13/12/2021

e alla faire tout ce qui était considérée comme son devoir. De cœur ou à contre cœur, elle se mêlait au rythme de la journée qui

ur les

zoumi. Bien

tristeme

puisque tes yeux s

Je suis là comme tous les jours

uand Arikè détourne sa tête d’un autre côté et aperçut une troupe d’homme. Cette dernière s’avance et quand Azoumi et Fanny virent le regard intéressant de leur copine, elles fixent à

ince, future roi

répondit le prince. Fixez-moi de vou

ours sa tête baissée. Le prince trouva cela incohérent et s’avance v

issé ta tête alors que je vo

vent pas fixer les jeunes garçons et surtout un prince parce que cela n

nt je te l’

orer mon éducation et ne point être la risée q

l’ardeur de t’avoir comme épouse. Au moins pour ma première fois je s

t cette audace à vous

tradition elle-même. Je n’aurai jamais cru qu’une

de la mondialisation galopante, nous devons savoir préserver le

e acheva le prince en p

s. L’audace vient parfois de l’abus du pouvoir. Qui aurait cru qu’un jeune homme de dix-sept ans demanderait en mariage une jeune fille de dix-neuf ans ? Et pourtant, le jeune prince du nom de Kabir avait fait ce que la plupart des hommes auraient pu avoir peur de faire. Et rien qu’avec le pouvoir, le jeune prince gambadait dans l’ivresse de son jeune âge en demandant en mariage, la plus docile et Belle fille du village. Avoir cela sur la conscience tourmentait Azoumi qui se voyait humilier par cet impudique mariage. Elle était apte à se soumettre à tout homme conscient de lui-même sans se faire prier deux fois. Mais savoir qu’elle se soumettra à un petit frère si l’on veut bien le dire, rien pour cause qu’il

uelque chose

e je dise ? Dema

as alors que le prince a

térêt qu’elle aura suite à ce mariage. Cette réjouissance vient de son cœur parce

core prête pour ça de

ux siècles avant de

ntés de la cour royale. Tu as intérêt à courir au

va, court et vole pour saisir ta chanc

tit et offre la force à un faible. Non Azoumi voyait son rêve se dissoudre dans le sable de l’amertume avec cette situation qui gambadait la campagne. Azoumi est en effet la seule fille de ses parents. Dès son inscription au cours primaire et secondaire, elle avait donné une grande fierté à ses parents qui ne regrettent jamais de l’avoir eue. Aujourd'hui, en ces vacances où elle espère les résultats du baccalauréat, son unique vision est de

ager accomplis, sa mère lui fit part dans la condition précaire de leur situation pécuniaire. Elle ne réfléchit pas deux fois en prenant la h

mbien je pourrai p

cs madame. C’est to

nent pas deux milles. L

en ces temps-ci. Il nous faut risquer nos vies

e franc car il fait nuit et tu n’auras pas de chance pour ventre

ugmentez a

francs. Laissez ces bois si vous ne voulez pas les pre

u pour me

enant, si vous voulez bien de ces bois, prenez-le

lus. C’est mon argent et j

t elle doit les vendre

nt à quel saint se vouer, les marchands et marchandes balaient du revers de la main tout le calvaire connu et de cœur ou à contre cœur, acceptent le maigre salaire qui ne vaut pas sa souffrance endurée pendant des heures de lassitude. Azoumi et bien d’autres venants des campagnes étaient des victimes de ses clients scrupuleux qui n’attendent rien pour perdre quand il

ire perdre mon dernie

ruse de ta cliente sans scrupu

vous a interné

t le b

bois car le crépuscule se retire dans sa cave et

ar je ferai la propag

souriaient à sa propagande. Azoumi riait aussi par les propos du jeune homme et se sentait à la fois honteuse. Elle a beau faire des signes de mains pour arrêter la propagande exagérée du jeune mais ce fut peine perdue. Bien au contraire, il augmenta de tension dans sa beso

la propagande sur ta marchandise. Il para

pondit Azoumi sous l

endre dit-il faisant so

est seulement à d

que vous endurer dans les bois, cette mar

, vous me faites perdre ma dernière cliente, ensuite vous me donnez une honte en criant sur les toiles pour faire la

rieux. Je ve

Azoumi qui ne comprenait plus le jeu

x plus q

ère que vou

s. Je suis t

cela en viendra

Je te payerai aussi le transport ne t’inquiète pas. Mais il

ncapable de porter cette marchandise jusqu

tueuse. Mais je ne veux pas avoir sur ma c

l’homme pour qu’ils usent des bois de chauffe pour la cuisine ? Il sera débile que Percé prenne ces bois pour la maison. Et bien évidemment, il n’avait pas l’intention d’amener ces bois à la maison. Après la marche d’une dizaine de minutes, il dépose ses bois à la devanture d’une maison et décharge A

. Que les mânes de nos ancêtres vou

tait là pensant que Percé allait faire de même mais elle fut étonnée de voir que ce dernier ne faisait que sourire à la vieille. Elle était obligée de ti

t l’amour du cœur. Allez maintenant dans la protection des dieux car vous venez de sauver une vieil

isaient Percé et A

la vieille. Percé avait ses pensées ailleurs. Il se demande pourquoi tailler d’importance aux remerciements d’une personne jusqu'à s'

e à genoux à cause

énédictions et rien n’est plus cher et honorable que la bénédiction des personnes âgées. Il fait toujours les

bien, toi et moi auro

haitez-vous pas avoir d

si toi et moi auron

'ailleurs, je vous laisse ici main

n remettant cinq mi

Où vais-je tro

fille. La monnaie sera ton

a marchandise ? D'ailleurs je ne veux que mes deux mille. Ma mère m’a enseignée de ne

la monnaie dit Percé en al

lez vous salir

cé. Maintenant j’attend

minutes dit Azoumi en allan

pas. Après une dizaine de boutiques parcourues, Percé eut une idée de prendre quelque chose afin d’avoir la monnaie. La situa

vec tout cela. C’est le

serai pas le seul à prendre ces biscuits dit Percé en m

s habituée à ma

oublié tes comportement

ale mon citadin. Maintenant

le dans cette nuit prendre le chemi

des méchants gens

accompagner. Dis-moi est-ce comme ça les

-t-il quelque c

Je trouve cel

fois apprécié quelques ch

la campagne pour ton l’information.

mieux p

e-moi

e je ne dois pas parle

vons passé ensemble ? Et même les bénédictions de la vieille qui di

icatif monsieur ! Elle n’a p

ton triste qui fit rire Azoumi. Si c’

auras une chance

ur ce village qui l’a vue grandir. Azoumi réveillait toutes les histoires possibles qu’elle connaissait depuis son tendre enfance. Elle parlait avec une telle facilité que la plupart des j

aintenant à

er de toutes les louanges. Laisse-moi aller et découvr

our votre service. Je suis hors du dang

me ch

s devez savoir que c’est immoral qu'une

mpris. La traditi

gentillesse et bonne route à v

fille. Je m’appe

umi. Il faut que j

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