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Quand la princesse Richemond se réveille.

Quand la princesse Richemond se réveille.

Auteur: Gavin
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Chapitre 1 

Nombre de mots : 1425    |    Mis à jour : 05/12/2025

tière milliardaire pour vivre s

notre fils, il m'a laissée seule

er notre enfant de « bâtard » sans pro

suadée que je n'étais qu'une petite fleuriste sans ave

l'investisseuse fortunée, portait désorma

e Léo, implorant un sout

ssant l'argent et l'ambition p

. Il a tué la femme douce et pati

Noa, ravalé mes larmes

numéro de mon père, le mag

ivé. La princesse Richem

ié une épouse inutile

eiller celle qui détient le

pit

ore

, pas pour l'héritière du Groupe Richemond. Mon père, Aldo, le magnat de l'hôtellerie de luxe, avait désapprouvé Léo dès le début. Pour lui, Léo n'était qu'un architecte ambitieux d'origine modeste, indigne de la seule héritière d'un empire valant des milliards. J'étais sa fille unique, sa princesse, le futur de sa dynastie. Mais sept ans plu

dans ma poitrine. Je savais que les jours à venir seraient difficiles. Revenir vers mon père, après tout ce temps, serait une épreuve. Je me souvenais de ses av

e forte, intouchable, capable de diriger un empire. J'ai cherché le lien avec l'esprit de ma famille, avec l'h

noué. Une vague de nausée m'a prise aux tripes. Ce n'était pas Léo. Du moins, pas le Léo que j'avais épousé. C'était le parfum de Ludi

in a effleuré ma taille, maladroite. Je l'ai sen

-il murmuré, sa voix rauque de so

é les yeu

oser, ma belle. Tu

. J'attendais qu'il rentre. J'attendais qu'il soit enfin là. Mais ces derniers mois, il était rarement là. Et quand il revena

s ouvrir les yeux, j'ai repoussé sa

i-je dit, ma voix plate. « Tu sen

J'ai entendu le bruit qu'il faisait en re

Il a reculé un peu. « Les réunions avec Ludivine sont longu

pour le regarder. Son

me rassurer. « Ces prochains jours, je serai plus présent, je te promets. Je dois

ais. Que je serais toujours là. Toujours la

vé, a ramassé ses vêtements et est parti vers

orps. Ce corps qui m'avait fait chavirer la première fois. Il était bâti, musclé, une statue

domaine familial, avide d'aventure. J'étais tombée sur des voyous dans une ruelle sombre de Paris. La peur m'avait glacée le

peau moite, le sang perlant sur son épaule. Mes mains avaient tremblé en désinfectant la plaie. J'avais senti me

ts sous mon menton, me forçant à le regarder. Ses yeux, d'un bleu profond, étaie

hésité. Dès le

naire de vie, » avait-il dit. « Tu peux me

relever les yeux. Il avait souri, un souri

muré, ses lèvres sur mon

. J'avais tout q

sir. Il a laissé tomber la serviette. Ses muscles se contrac

evenait en pleine face. La beauté de son corps n'avait plus d'importance. Son odeur, celle de Ludivine, s'était

me homme. Et je n'éta

était mort, assassiné par

ais prête à

voix à peine un murmure, mais trancha

r son visage. Une lueur d'incompréhensi

a-t-il demandé, sa voix devenant dure. «

ndre, un coup violent a reten

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