Quand la princesse Richemond se réveille.
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tière milliardaire pour vivre s
notre fils, il m'a laissée seule
er notre enfant de « bâtard » sans pro
suadée que je n'étais qu'une petite fleuriste sans ave
l'investisseuse fortunée, portait désorma
e Léo, implorant un sout
ssant l'argent et l'ambition p
. Il a tué la femme douce et pati
Noa, ravalé mes larmes
numéro de mon père, le mag
ivé. La princesse Richem
ié une épouse inutile
eiller celle qui détient le
pit
ore
, pas pour l'héritière du Groupe Richemond. Mon père, Aldo, le magnat de l'hôtellerie de luxe, avait désapprouvé Léo dès le début. Pour lui, Léo n'était qu'un architecte ambitieux d'origine modeste, indigne de la seule héritière d'un empire valant des milliards. J'étais sa fille unique, sa princesse, le futur de sa dynastie. Mais sept ans plu
dans ma poitrine. Je savais que les jours à venir seraient difficiles. Revenir vers mon père, après tout ce temps, serait une épreuve. Je me souvenais de ses av
e forte, intouchable, capable de diriger un empire. J'ai cherché le lien avec l'esprit de ma famille, avec l'h
noué. Une vague de nausée m'a prise aux tripes. Ce n'était pas Léo. Du moins, pas le Léo que j'avais épousé. C'était le parfum de Ludi
in a effleuré ma taille, maladroite. Je l'ai sen
-il murmuré, sa voix rauque de so
é les yeu
oser, ma belle. Tu
. J'attendais qu'il rentre. J'attendais qu'il soit enfin là. Mais ces derniers mois, il était rarement là. Et quand il revena
s ouvrir les yeux, j'ai repoussé sa
i-je dit, ma voix plate. « Tu sen
J'ai entendu le bruit qu'il faisait en re
Il a reculé un peu. « Les réunions avec Ludivine sont longu
pour le regarder. Son
me rassurer. « Ces prochains jours, je serai plus présent, je te promets. Je dois
ais. Que je serais toujours là. Toujours la
vé, a ramassé ses vêtements et est parti vers
orps. Ce corps qui m'avait fait chavirer la première fois. Il était bâti, musclé, une statue
domaine familial, avide d'aventure. J'étais tombée sur des voyous dans une ruelle sombre de Paris. La peur m'avait glacée le
peau moite, le sang perlant sur son épaule. Mes mains avaient tremblé en désinfectant la plaie. J'avais senti me
ts sous mon menton, me forçant à le regarder. Ses yeux, d'un bleu profond, étaie
hésité. Dès le
naire de vie, » avait-il dit. « Tu peux me
relever les yeux. Il avait souri, un souri
muré, ses lèvres sur mon
. J'avais tout q
sir. Il a laissé tomber la serviette. Ses muscles se contrac
evenait en pleine face. La beauté de son corps n'avait plus d'importance. Son odeur, celle de Ludivine, s'était
me homme. Et je n'éta
était mort, assassiné par
ais prête à
voix à peine un murmure, mais trancha
r son visage. Une lueur d'incompréhensi
a-t-il demandé, sa voix devenant dure. «
ndre, un coup violent a reten