Mon Ex-fiancé, Mon Plus Grand Regret
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ent au gala du Ritz, persuadé que j'
celet en riant, ignorant qu'il valai
r, alors que j'étais l'épouse de l'hôt
une héritière, René a éclaté de rire
t luxury" n'était
violemment à terre, manquant de
bracelet sous so
omme toi ! Dégage avant qu
roposé l'ultime insulte : devenir la nou
. Ils savouraient
elet "en toc" était un prototyp
en tremblant, le redoutable Frédérick
tite voix a fen
hants ont fait s
sque Frédérick a posé sa main sur mon
e. Préparez-vous à tout perd
pit
de M
ion. J' ai inspiré profondément, l' air frais de Paris remplissant mes poumons. Trois ans. Trois ans d
urs, annonçant le « Gala de bienfaisance exclusif du Groupe Sullivan ». C' était l' événement de l' année,
ex, l' homme qui m' avait brisée en mille morceaux pour une ascension sociale. Il n' avait pas changé, du moins de loin. Toujours le même sour
t le murmure ambiant. Elle était le symbole vivant de tout ce que René recherchait : le clinquant, le superficiel. Le contraste avec ma propre ten
attirer les bonnes grâces de la fille Kauffmann et, par extension, de lui. Il se pavanait, un verre de champagne à la main, son ri
ouette, s' arrêtant sur mon ventre légèrement arrondi, puis sur mes vêtements. Un sourire narquois a étiré ses lèvres. Il a penché
René était pleine d'une fausse surpris
perçants me déshabillant. Je sentais les regards des autres se pose
e tenue." Il a fait un geste vague vers ma robe. "Tu t'es fau
'avais jamais imaginé qu'i
a ajouté Luisa, un sourire glacial sur les lèv
cané. Leurs rires étaient des dag
ouvé répugnant. "Écoute, je sais que c'est dur. Je sais que
pérée pour te présenter ici, un événement de cette envergure, comme
?" a demandé l'un des acolytes de René, un homm
ené de la reprendre ?" a suggéré une femme
e l'ancienne moi, celle qui aurait fondu en
nte. "On dirait du coton simple, tout juste bon p
en d'autre," a lancé l'homme au costume serré.
avec soin, chaque couture était une œuvre d'art. Ils incarnaient le "quiet luxury", le vrai, celui qui ne crie pas sa valeur, mais la porte avec
criard. Juste ma peau nue, lavée, saine. Parce que je n'en avais pas besoin
e foi naïve en un avenir commun. C'était une autre vie, u
isé. Ils ne pouvaient pas imaginer la femme que j'étais devenue. L'épouse. La partenai
malheureuse. Ils pensaient que j'étais seule. Mais j'étais tout le contraire. J'étais pleine. Pleine
ens collaborateurs, un certain Monsieur Dubois, que j'ava
ons-nous... la laisser tranquille. C
"Dubois, tu es toujours aussi sentimental. Elle est venue seule,
isa et moi allons bientôt fonder une famille. Nous aurons besoin d'aide. Tu es douée avec les enfants, n'est-c
ogance, l'insulte. C'était un gouffre d'insensibilité. Mais au lieu de la fureur, un calme
nt, c'est le moment. Maint
s'est avancée, ses yeux brillants d'une colère sourd
acelet fin, discret, mais d'une élégance rare. Un simple
penses que tu peux venir ici avec des contrefaçons ?
et. Avant que je ne puisse réagir, elle a attrapé le bracelet. J'ai
ièce centrale est tombée au sol, roulant à mes pieds. Un petit bout de métal dérisoire, aux yeux de tous. Un
ux pour attirer l'attention. Tu devrais être reconnais
a souri, satisfait. Il a regardé le bracelet brisé sur
, "tu n'apprends jamais. Il e
brisée. Ce n'était pas n'importe quel bracelet.
naient de
de détermination m'a envahie. Ce n'était plus une q
sourire lent s'est dessiné sur mes lèvres. Un sourire que je
calme, mais chaque mot était comme une pierr
st fait, lourd et oppressant. L'ai
t. Le début de