Le Millionnaire Que Je Ne Devais Pas Aimer
AVC ou AIT,
parie que ça saigne dans son cerveau. C
débranchent le patient, je prie en silence pour que Carter reparte aussi vite qu'il es
le Dr. Cruz ici présent a-t-il pu décel
liqu
les sourcils en accents c
e musculaire, sueurs f
t contre le mur comme si ça
de moi et me souffle une réponse que je ne comprends pas, à base de plaquettes et de glycémi
Toi ici, C
et ma boîte crâni
iques privées où les docs sont bien payés et les patients encore plus
, tu n'as pas toujours rai
llée, plus timide que j
Oh, mais c'est
s pour ne rien dir
ouviens qu'il a toujours
un autre cerveau qui m'attend... Mai
ent. Il se tourne vers
ez pas trop vite... Promis, elle est
moi. Un regard sombre qui brille d'intelligence
Je tousse discrètement et tente de repousser les images
fi, de bienveillance, de flirt à peine dissimulé mais qui n'ira jamais nulle part pui
visage d'un air curieux. L'amphithéâtre se remplit peu à peu, le cours de biochimie va bientôt comm
urnom, lâché-je à voix basse. Et le Dr. Wil
e me proposes pas la
seulement le troisième cours et... – Quoi,
Non. Et je
enu troubler ma matinée studieuse fait signe à l'un de ses camarades
éo ? Cool. Mais j'a
s te présenteront leurs excuses dès que possible,
ui dis, de ce que je veux, et tire sur
Moi c'est Cru
es souvent ton nom de fa
léchir. Même en faisant cette grimace, so
il dans un sourire. Il faut
n, rétorqué-je en me plongeant à
n'auras pas la premi
scend dans
demiheure en avance à chaque cours, poser mille questions, réviser chaque exam jusqu'à pas d'
u le dis, soufflé-je,
amille de grands pont
Tu t'es ren
e monde le sait, ici. E
mpossible à cerner. Je déteste ça. J'ai besoin de tout comprendr
pas de te faire descendre de ton p
suis pas là pour me fai
d'un air pl
Tu es parfa
aite
? C'est peu
era pour récupérer les polycopiés. Contrairement à moi, il est entouré d'un tas de visages rieurs et ravis de le compter parmi eux. Dans mon dos, j'entends chuchoter : « Cruz est une légende », « Paraît qu'il est imbattable ! », « Ce mec ira loin... », « Il est célibataire, tu crois ? », et d'autres bêtises du genre. Je me tourne à nouveau vers l'estrade, qua
et les lauriers sans batailler, je ne sais pas quoi penser de cett
psychiatre, mère pédiatre, grands-parents et aïeuls aux titres à rallonge.
eux, un an d'avance, toujours première de classe, la fille qui n'essaie pas d'être populaire, c'est peine perdue et elle le sait, mais qui souffle les réponses
, ça ne s'annon
ible « Tu es parfaite », et bois les paroles cla