Le dernier adieu amer de mon cœur
e de Juliet
son résonnant dans le silence soudain. Mon corps hurlait de pr
lourd, « je transférerai mes parts majoritaires d'Innovatech à Déborah
rière lui. Son visage était un masque d'incrédul
tech ? Tu te rends compte de ce que tu fa
dans ses cheveux
lement donner le trav
rs le vaste jardin où Émile et Déborah riaient en chassant les papillons. Une vision de bonheur domestique dont je ne ferais jam
infiltrant dans ma voix, malgré mes efforts pour la réprimer. Mes yeux, bien que secs, se
regret ? Je ne saurais le dire. Il ouvrit la bouche, puis la referma, ses ép
ides, et m'éloignai, le laissant seul dans la salle à manger,
alme inexplicable, le déconcertaient clairement. Il ne comprenait pas. Il ne pouvait pas. Il pensait que j'étais altruiste, ou peut-êt
ait ma paix, mais pas la tempête qui couvait sous la surface. Il
t à chaque pas. Mon visage, je le savais, affichait une expression sereine, presque détachée. Ma
à tout. Son arrogance habituelle avait disparu, remplacée par une vulnérabilité brute que je n'avais
ré à la vie de regret que j'avais méticuleusement planifiée pour lui. Mon calme l'inquiétait, une menace silencieuse qu'il ne pouvait pas tout à
bération, un fardeau enfin déposé. Ma voix, bie
sement construit. Mon calme extérieur le troublait, un pressentiment de quelque chose qu'il
eux, une promesse silencieuse du chaos à venir. Ma voix, do