Le dernier adieu amer de mon cœur
e de Juliet
erveuse hurlant. Le cancer n'était plus un voleur silencieux ; c'était un brasier, me consumant de l'intérieur. Chaque respiration était une lutte, une minusc
à faire. Si
nt sous moi, mais je refusai de tomber. Je devais maintenir l'
air et insouciant d'Émile, celui plus doux et mélodieux de Déborah. C'était un son qui
le était assis sur les genoux de Déborah, un livre pour enfants ouve
lait-elle, « le petit lapi
u doigt, son v
est le renard ! Le
la tête, un geste s
on, mon chéri !
d croisant le mien, puis retourna immédiatement à Déborah et au livre. J'étais une distracti
e me forçai à avancer, vers la chaleu
ma voix un peu rauq
s yeux. Il serra instinctivement la main de Débora
n bras, « on peut aller au parc aujourd'hui ? C
da, feignant une
-être que tu devrais d'abord demander à
un geste qui me fit plus ma
l en se retournant vers Déborah. « Tu n'as jamais le tem
our m'assurer qu'il ne connaîtrait jamais les difficultés que j'avais connues après la mort de nos parents. Chaque nuit passée au bu
temps du monde. Mon temps, vo
tre sourire, un
Va avec Déborah.
e, malgré le tremb
ment des genoux de Déborah, attrapant
il, inconscient du monde qu
ffleurant le mur froid, ayant besoin de son soutien pour rester debout. L'agonie physique s'intensifia, un rappel brutal de mon corps défaillant, mais ce n'