Le Jour Où Mon Amour M'a Tuée
Marcea
ndu, ma voix étranglée par une doul
dire quoi que ce soit d'autre, avant que ma dignit
u poing, sa colère plu
fou ! Je vais aller lui parler, Éline,
oint de partir, l
ferme. « Ça ne servira à rien. Il ne m'aime
, comme si j'avais vieilli d'u
is jours
e fâches avec lui à cause de
tordu par la douleur. Il m'a regardée, s
Tu es si faible ! Tu n'as
ule. J'ai toi. » J'
ne me disputerai pas avec lui. Mais je viens avec
'étais trop fatig
te était entrouverte. Dès que j'ai mis
es bras enlacés. Léa riait, sa tête posée
imité que je n'avais ja
sique a redoublé, comme si mon corps
us. Ses yeux se
us faites là ? » S
u, Gabriel ? Comment oses-tu lui demander de
froncé les sourcils. « Éline t'a
a vie à la fondation, elle a redonné un sens à ta misérab
eu à ce que tu f
regard, un éclair d'in
sé sa main sur le bras de Gabrie
et moi, nous nous aimons. Tu sais, o
é sur moi, plein d'u
ée, les yeux pl
fois que tu as parlé de sentiments, tu es p
ses, Axel ! Éline et sa famille t'ont manipul
el a insisté, sur le poi
ête,
, l'empêchant de parler. À quo
é Gabriel. « Je pars. Je vais f
Léa. « Tu as gagné
bre d'amis, celle où j'avais dormi pendant
m'a s
me reliait vraiment à Gabriel. Juste un
uelques vêtements, Axel.
une peti
peux le donner. Le j
ière moi. Gabriel était là,
sage. Quelque chose qui res
te, comme pour ch
plus douce, pr
un appartement. Un bel endroit.
endu u
era qu
is son visage. Un mélan
esoin de ton ar
, me dirigeant vers
erposé entre G
laisser partir ? La
mêle pas
pparue de
i heureux ensemble. Ne t'inquiète pas pour
r, Léa. Et toi, Gabriel. Tu vas reg
e bras. « Viens, Élin