Quand la vérité te dévore
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ire de mon mari, Romain,
bre froide pour me laisser mourir de faim et
l'évidence, me traitant de comédienne et c
nçait à s'effondrer, mais il était trop aveu
même plus que j'étais la jeune fille qui
nnier, lié à lui, forcé d'assister à sa descente aux enfers. Et
pit
ïse
chambre froide. Il m'avait laissée mourir seule. Maintenant, mon esprit était prisonnier, f
acas. Mon père avait toujours dit que le pouv
d bureau en acajou. Il n'avait même
» Sa voix étai
famille, se tenait devant lui. Ses épa
loïse... » co
ine. » Romain l'interrompit, son ton gl
ir dans la pièce était épais, lourd
ise, Monsieur. » La voix d'Ant
ête. Un sourire mince et
fauteuil. « J'espère que cette leçon lui fer
ine avec un air
fier ? » Romain haussa un so
transpercer mon esprit. Son arro
ation... » Antoine fit u
e coupa net. « Éloïse a besoin de temps pour réf
ine dans ses yeux. Il se croyait
onsieur. » Antoine insista, sa voix
d'esprit. Antoine s'inquiéta
es épaules, un
morte plutôt que d'admettre qu'elle a
a dans les yeux de Romain. Un micro-trem
e quelque chose qui ressemblait à de l'inq
yé. Son visage redevi
était dure. « Une femme comme elle do
yeux, incapable de
.. » dit Antoine. Sa
. Un vieux hangar désaffec
Ce n'est pas un hôtel cinq étoiles, c'est une
fit un effort visible pour parler. « Elle...
as un battement. Ses yeux n
ours été douée pour la comédie. Elle se roule dans la
e dans ma non-existence, il t
blague. » Antoine était déses
Romain fra
sonna dans
xa Antoine. « Demain matin. Si elle n'a pas encore
a conversation. Il balaya Antoi
, impuissant, et
na. Son regard s'ado
e la porte, le regard baissé, l'air fragile
Sa voix étai
prit se tordit.
s elle, son visage tran
it son visage entre ses main
es grands yeux ble
renifla, se serrant contre lui.
si rapide que seul mon esprit pouvait la dé
mise. « Elle m'a laissée seule, face à ces hommes...
serra fort
veux. « Tu es en sécurité maintenant. É
sait pour un mensonge qu'i
leva des yeux innocents vers lui.
visage dur. Il care
remplie d'une colère sourde
'étais la dure, la cruelle. Et
t invisible, se mit à rir
entendit. Pers
faire. Je ne pouv
ps étai
re noire. La chambre froide désaffectée,
jours et des nuits interminab
rdir mes membres. Puis, il avait
cune de mes respirations était u
essayant de retenir la dernière parcelle
, mes lèvres gercées. Me
mencé. Des ombres dansaient da
ur ma peau. Des serpents invisibles, froids et glua
cules mâchoires, me dévorant, morceau par morceau. Une armé
tait devenu
soupir. Un râle rauque, br
élevée. Libérée. Mais non