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Quand la vérité te dévore

Quand la vérité te dévore

Auteur: Gavin
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Chapitre 1 

Nombre de mots : 1329    |    Mis à jour : Ce jour17:56

ire de mon mari, Romain,

bre froide pour me laisser mourir de faim et

l'évidence, me traitant de comédienne et c

nçait à s'effondrer, mais il était trop aveu

même plus que j'étais la jeune fille qui

nnier, lié à lui, forcé d'assister à sa descente aux enfers. Et

pit

ïse

chambre froide. Il m'avait laissée mourir seule. Maintenant, mon esprit était prisonnier, f

acas. Mon père avait toujours dit que le pouv

d bureau en acajou. Il n'avait même

» Sa voix étai

famille, se tenait devant lui. Ses épa

loïse... » co

ine. » Romain l'interrompit, son ton gl

ir dans la pièce était épais, lourd

ise, Monsieur. » La voix d'Ant

ête. Un sourire mince et

fauteuil. « J'espère que cette leçon lui fer

ine avec un air

fier ? » Romain haussa un so

transpercer mon esprit. Son arro

ation... » Antoine fit u

e coupa net. « Éloïse a besoin de temps pour réf

ine dans ses yeux. Il se croyait

onsieur. » Antoine insista, sa voix

d'esprit. Antoine s'inquiéta

es épaules, un

morte plutôt que d'admettre qu'elle a

a dans les yeux de Romain. Un micro-trem

e quelque chose qui ressemblait à de l'inq

yé. Son visage redevi

était dure. « Une femme comme elle do

yeux, incapable de

.. » dit Antoine. Sa

. Un vieux hangar désaffec

Ce n'est pas un hôtel cinq étoiles, c'est une

fit un effort visible pour parler. « Elle...

as un battement. Ses yeux n

ours été douée pour la comédie. Elle se roule dans la

e dans ma non-existence, il t

blague. » Antoine était déses

Romain fra

sonna dans

xa Antoine. « Demain matin. Si elle n'a pas encore

a conversation. Il balaya Antoi

, impuissant, et

na. Son regard s'ado

e la porte, le regard baissé, l'air fragile

Sa voix étai

prit se tordit.

s elle, son visage tran

it son visage entre ses main

es grands yeux ble

renifla, se serrant contre lui.

si rapide que seul mon esprit pouvait la dé

mise. « Elle m'a laissée seule, face à ces hommes...

serra fort

veux. « Tu es en sécurité maintenant. É

sait pour un mensonge qu'i

leva des yeux innocents vers lui.

visage dur. Il care

remplie d'une colère sourde

'étais la dure, la cruelle. Et

t invisible, se mit à rir

entendit. Pers

faire. Je ne pouv

ps étai

re noire. La chambre froide désaffectée,

jours et des nuits interminab

rdir mes membres. Puis, il avait

cune de mes respirations était u

essayant de retenir la dernière parcelle

, mes lèvres gercées. Me

mencé. Des ombres dansaient da

ur ma peau. Des serpents invisibles, froids et glua

cules mâchoires, me dévorant, morceau par morceau. Une armé

tait devenu

soupir. Un râle rauque, br

élevée. Libérée. Mais non

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