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L'ultime adieu d'un monstre

Chapitre 2 

Nombre de mots : 1229    |    Mis à jour : 26/11/2025

vue d'É

respiration, saccadée et inégale. Puis, le téléphone a de nouveau sonné, vibrant violemment dans ma main. Arthur. J'ai

J'ai tout laissé aller sur la messagerie vocale, mon doigt planant sur le bouton de blocage. Pas encore. J'

: N'ose pas faire ça, Éléonore. N'ose pas !

un sourire sans joie. Revenir en r

i répondu. « Qu'est-ce que tu veux, Arthur ? » Ma voix éta

Qu'est-ce que tu crois que tu fais, putain, Éléonore ? Mettre fin à tout ? Comme ça ? Après tout c

e ? Qui était jetable quand j'étais allongée sur un lit d'hôpital, à peine c

e a été rapidement remplacée par la colère. « Ce n'est pas juste, Éléonore ! Manon avait besoin de moi ! Sa gra

de panique. Il l'a dit avec un tel mépris, comme si mon corps se raidissant et mes poumon

on était une lutte, un halètement désespéré pour la vie. Mon inhalateur était inutile, ma vision se brouillait sur les bords. J'

rait là, qu'il me sauverait. Puis son téléphone a sonné. La voix paniquée de Manon, frénétique et exagérée, a percé le grési

tré, mais ensuite sa voix s'est adoucie.

ulant sur mon visage. « S'il te plaît, Arthur ! Je suis en train de m

t être de la raison. « Éléonore, Manon est seule. Sa grand-mère a la démence, c'est sérieux. Toi, essaie juste de te calmer. Pr

supplié, même menacé de ne plus jamais lui parler s'il me laissait. Il avait simplement dit : « Ne sois pas dramatique, Éléo

x urgences, me pompant de l'oxygène et des médicaments. Seule quand je me suis enfin stabilisée, faible et terrifiée, le fantôme de sa trahison un poids froid dans ma poitrine

nant de venin, « je n'ai pas besoin d'essayer de te faire passer pou

a construit ! Tu vas le regretter ! Tu reviendras en rampant, je te jure devant Dieu que tu le feras, et quand tu le feras, j

yeux flamboyants. C'était sa tactique habituelle. Crier, blâmer, menacer, puis me

oide. « Et tu sais ce qui est drôle ? Je ne ressens absolument

à une dispute, des larmes, un plaidoyer désespéré p

é de l'appel. « Arthur, mon chéri, ne la laisse pas te contrarier. Elle se défoule juste

Ton numéro devient vieux. Et Arthur ? Avant que tu ne commences une autre de tes tirades pathétiques, sache juste

as une dispute. C'était une exécution. Et c'est moi qui appuyais sur la gâchette. La vague de colère, l'amertume, la douleur – tout se transmutait en autre chose

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