Gardénias et son dernier adieu
ue d'Élina
tremblante. Je passais des heures penchée sur les toilettes, ayant des haut-le-cœur jusqu'à ce que ma gorge soit à vif. Les recherches en ligne ont confi
ste. Je m'effondrais souvent sur le petit canapé, le monde tournant, priant pour ne pas m'é
n moment de répit, et je me suis laissée retomber s
mpeccablement vêtu d'un costume sur mesure, ses cheveux parfaitement en place. Il avait l'
flamboyants, et a jeté une pile de photographies glacées sur la
parlant à Léo. Une autre photo montrait Léo me tenant la main. « Qu'est-ce que tu faisais à l'hôpit
t usé. Sa prise s'est resserrée, me coupant le souffle. Ma tête a tourné, ma vision
e à quelques centimètres du mien. « Qu'e
rauque, ma gorge me brûlant. «
'ai reculé en titubant, me tenant la gorge, les poumons en feu. J'ai attrap
vais hâtivement tirée sur moi. Il l'a arrachée. En dessous, négligemment glissé,
oue. Son visage était un nuage d'orage. « Qu'est-ce que c'est ? »
ître plus forte que je ne l'étais. Mon reflet dans le petit miroir à côté de moi montrait une
, ma voix stable malgré le trembleme
« Le mien ? Ne m'insulte pas, Élina. Nous n'avons pas été "ensemble" depuis... cette nuit-là. Et même alors, c'était une erreur. Un dérapage d'ivrogne. » Sa lèvre s'
a-t-il craché, ses mots comme de l'acide, « n'est pas le mien.
. Toute l'humiliation, toute la négligence, toute la douleur se sont unies en une seule force explo
les yeux écarquillés de choc et d'incrédulité.
Tu te souviens. » Ma voix est tombée à un murmure, chargé de venin. « Et toi, Adrien ? Sort
jouer à ce jeu ? Très bien. C'est
t, le mot un petit rugissement de défi. « J'en veux un aussi. Mettons fin
le dos à un Mayer ? Ne pense même pas à jouer les martyres. Tu n'as aucun levier. Tu n'as rien. » Il a ramassé le r
ant avec une finalité qui a résonné dans l'app