L'Ascension du Loup Alpha

des dieux eux-mêmes. Autour d'Eltanin, les prétendantes ne manquaient pas : princesses par dizai

nt le portrait peint de la princesse des Pégases. Les morceaux de toile voltigèrent dans l'air

Alrakis le pres

s dont nul ne revient. C'est ta vie qui vacille, mais aussi l'avenir du royaume

olère vibrait comme une bête enfermée, cherchant à déchirer sa cage. Ses poings tremblaient, la chaleur montait sous sa peau. Il sentait une force inté

, dans la Grande Sall

n. Dans ses cheveux d'ébène, le diadème d'or avait glissé légèrement de côté. Autour de lui, des s

ne fée égarée parmi des vipères. Sa robe simple, serrée à la taille et décorée de dentelle carrée au buste, possédait des manches longues en cloche qui ondulaient à chacun de ses ges

ivée dans son champ de vision, il avait eu le souffle coupé. Elle

r ? intervint la princesse Eri d'

se défaite et la musculature ferme d'Eltanin. Sur son torse s'enroulait le tatouage de dragon que chaque enfant d'A

glissé une poudre discrète, espérant l'affaiblir assez pour l'ent

ur ? rep

en blanc. Eri serra les lèvres, vexée. Tout le monde savait qu'Eltanin était le loup le plus puissant d'Aran

ant dix-huit ans. Lui avait déjà traversé cinq siècles sans jamais reconnaître la sienne,

yeux vers lui. Leurs regards se croisèrent. Son souffle se bloqua, un grondement sourd monta de sa poitri

rs étaient couverts de tapisseries blanches et dorées, de tableaux rares. Des chandeliers suspendus répandaient la lumière de mil

guerres et victoires, loyautés et secrets. Rigel, fidèle à lui-même, avait déjà trouvé compagnie à l'étage, laissant Eltanin seul au

était si violente qu'il vida d'une traite une gorgée de vin. Était-ce une obsession passagère, ou bi

et de la myrrhe emplissait l'air. Tout semblait étinceler autour d'elle. Eltanin se rappela les mots d'Alra

cette femme qui brillait plus que toutes les autres, il sut qu'

rtant, il ne s'était jamais engagé envers aucune d'elles et n'avait jamais pris la peine de

ir son sang d'une jalousie brutale et irraisonnée. Il braqua son regard vers les portes, ses prunelles sombres étincelantes d'une colère absurde. Mais il n'y avait personne. Rien qu'un tour de son imagination. Il reporta donc son attention sur elle, et sa fureur

fille de la famille royale, courtisée par nombre d'hommes et candidate autoproclamée à sa main. Il t

manda l'inconnue, jetant des

n mi-distrait mi-moqueur, tout en prenant une coupe de vin rouge

appartements à l'étage, dit-elle avec un petit sour

i était donc cette étrangère ? Il ne l'avait jamais croisée auparavant. Pourquoi cherchait-elle Rigel avec tant d'empres

ait offert. Ses lèvres s'humidifièrent, plus rouges enc

as monter ? C'est réservé à

icana,

tit harem là-haut. Tu n'as aucune chance d'y accéder. Les gardes bloquerai

soldats armés de lances, figés au

e à descendre. Et crois-moi, ça n

robe dans ses mains tandis qu'elle fixait les lourdes portes de bois comme si elles allaient s'ouvrir sur une révél

nège d'Eri : tenter de le séduire afin de tomber enceinte et le piéger ainsi. Toute la cour en riait déjà dans son dos, sauf elle qui persistait dans so

olument voir

la tête, les yeux brillants

Ou

it Petra avec un sourire carnassier,

l'outil parfait pour contrecarrer sa rivale. Jamais une rot

onnue, les lèvres entrouv

rire derrière un

ccasion se présentera, j

pour cette fille. Deux problèmes réglés d'un seul coup. Ensuite, elle irait déjouer les pl

qui arracha à Petra un sourire froid. La princesse porta instinctivement une main à sa

re de ses ancêtres, gardiens du pommier d'or confié à Héra, l'épouse de Zeus. Un dragon légendaire en protégeait les fruits. L'arbre, disait-on, se dres

rs Eltanin avec u

lque chose, monseign

tenter d'attirer son attention. Obtenir son entrée ici avait même nécessité

es, chacune dans leur style, se disputaient depuis longtemps l'attention d'Eltanin, dressant piège contre piège. Petra savait manip