La Nounou du Millionnaire
/0/30079/coverbig.jpg?v=73c5f8903087066e0a2d570a4823744d&imageMogr2/format/webp)
e à temps plein pour prendre
méticuleusement sur l'enfant, sa
significa
ayfair,
ttractive, en fo
es, susceptibles ou in
ur strict. Pas franchement confortable, mais comme le disait souvent ma mère
ce quelques mèches blondes derrière mes oreilles, puis réalise enfin que je ne suis pas seule. Mon sosie aux cheveux
ndée, ilsvont te recaler direct ! Tu t'apprêtes à perdre deux heures
au cutter à un innocent carton
contrer, c'est tout ce quicompte. Ah oui, et deux
lus agaçants, elle me balance une Convers
i, sa mère maniaco-dépressive va s'enfiler une poignée de Lexomil en douce, pendant que Mr X – encore un vieux beau qui te fera les yeux doux – tendra un billet de cent à sa
te fait croire que ce
fair, ça t'inspire quoi à part le
mps qu'on va payer le loyer... On a suffisamment galéré avant de trouver cet appart tout juste médiocre. J'ai eu ma dose d'hô
rit-elle de sa voix grave. Va v
metière. Tous les cartons qui se trouvaient à sa porté
r jumelle. La dél
. Il fait une chaleur écrasante en ce début juillet, je rêverais d'être en terrasse, en train de siroter un soda bien frais dans une robe bain de soleil. Mauvaise pioche. Je me trouve dans un costume de clown triste, pressée contre un mur dans cette rame bondée, entourée de ge
a pire idée que
'était
lais. Bordé par Hyde Park à l'ouest et l'ultratendance West End à l'est, Mayfair a une situation est plus qu'idé
is ravie. Depuis mon arrivée en Angleterre, un mois plus tôt, je ne me suis jamais promenée dans ce quartier. Ma sœur et moi, nous nous
e prends le temps d'observer semble avoir été préservé dans un écrin de velours. Ici, pas de pubs sinistres ou de boîtes bruyantes, mais des bars à vin au charme désuet et au
îne nonchalamment sur
et ne se ressemblent pas. Chanel, Prada, Miu Miu, Cartier, Alexander McQueen, Louis Vuitton... Joe avait probablement raison. À moins d'habiter dans un studio insalubre et situé au dernier soussol, il faut être millionnaire pour se payer le lux
e, pense à ton sal
as dans un appartement, comme le commun des mortels, mais dans une sublime maison victorienne à quatr
fraîche. Tentée de faire demi-tour, je sonne précipitamment pour que ce ne soit plus une option. Face à cette porte sans doute centenaire, je patiente en prenan
d'un bleu profond. Puis je m'arrête sur sa bouche pincée et délicatement ridée. Cette femme doit avoir une soixantaine d'années, peut-être plus, et mériterait de figurer sur un table