Un pion, un fils, un mariage forcé
vue d'Ayl
aisante contre le feu qui faisait rage en moi. Je retournai en trombe dans la cabane, mon cœur bat
age. Ses yeux, cependant, étaient dépourvus de toute chale
, Ayla », ronronna-t-elle, sa voix trop m
it un jeu. « Tu n'as pas peur qu'elle soit empoisonné
jusqu'aux os. « Le poison, ce n'
e puisse la presser, elle prit son bol, le penchant en arrière. Elle but les dernières go
a porte, sa main frottant toujours son cou, so
ment étranglé. Elle recula en trébuchant, s'effondrant sur le sol, se tordant de douleur. « Aidez-m
e. Une arête de poisson ? Impossible. J'avais méticuleusement désarêté le poisson, surtout celui que j'avais cuis
. Il la souleva, la berçant comme si elle était en verre, et couru
Ayla. » Une froide prise de conscience me submergea. Elle n'était pas empoisonnée. Elle me piégeait. Me piégeait pour avoir fait d
aible, mais son regard, fixé sur lui, était rempli d'un désespoir ma
voix était étranglée, des larmes coulant sur son visage alors qu'il sortait en titubant. Il aimait cet enfant, vraiment. Plus qu'il ne m'avait jamais aimée. Plus qu'il n'avait jamais
sur les miens. « S'il lui arrive quelque chose, Ayla, ou à notr
le. « Avec des menaces ? » Ma dernière once de sympathie pour Élodie s'évapora. Elle était une
ia-t-il, désespéré. «
et dangereuse. « Mets-toi à genoux devan
bras autour d'Élodie se resserra, la broyant presque. « Ayla, tu e
eux, mon regard inébranlable. Je tendis la main, mes doigts traçant la rougeur violacée sur la joue
enfant, vaut-elle plus que ta précieuse dignité ? » Je me penchai plus près, ma voix