Deuxième Vie, Dernier Souffle
it-il à avoir cette discussion en public ? Mais
lui comme une enfant. Réfléchis. Si je te demande ça, c'est que c'est vital. Je suis l'A
ys. Nous n'avons aucun ennemi, et tu es un Alpha fort. Je crois en toi. J'ai toujours c
a de mieux pour eux, murmur
ître une étin
dur. Et tu sais que c'est ce qu'elle attend : que tu cèdes.
à portée de main. Elle croyait l'avoir pre
puis se tour
t-il. Je m'occuperai de to
oigts. Était-ce vraiment aussi simple ? Pouvait-elle
ivière d'Argent, je rejette..., commença-t-il
re trop faible ! Si vous me rejetez, je m
'était écrit sur son visage. Il ne pouvait pas. Et à
ait pas su à qui elle avait affaire, elle aurait pu y cr
! suppliait-elle. Je vous en prie, ne m
l'échine. Elle croisa le regard de Roxy : d
vie est entre vos mains ! Je ne veux pas mourir ! Je
n'entendait plus que
out ça ne sert à rien. On ve
jetant à ses genoux et agrippant sa robe
commen
nt sauvage coupa
les yeux rouges, son
oi, ordon
ement monta de sa gor
araître à côté de Roxy. Il la serra dans ses
. Ria savait déjà où il l'emmenait : cette chambre isolée au f
de Bryan, tout près de l'endroit où,
par lui quand elle avait dix-neuf ans. Leurs yeux se croisèr
vivait la même scène, le mêm
ay, s'approchan
vue mourir. Sans réfléchir, elle la prit dans ses bras. May avait
caressant les cheveux. Ça v
prendre. Elle avait déjà perdu son mari ;
ndit-elle, adressant
la tête, c
yez qu'on n'a rien à faire ? Al
mbre, proposa May.
ger sourire. J'ai besoin d'être seule. Il faut
age. Mais elle pouvait encore
it-elle en serrant la main d
? répéta Ma
eurs, il faut bien que quelqu'un prenne le
ressa un so
, May. On s'en
ment, à bout de souffle. Trop de choses, trop vite. Il lui fallait un pla
Elle avait besoin d
s'enfonça dans la forêt. Là, elle ôta ses
ne
pela-t-elle
le
ria-t-elle
ndait pas. Pourtant, elle n'était pas faible ; son co
e clochait.
poids de la meute. Assez isolé pour qu'on l'y laisse tranquille, mais pas assez loin pour être dangereux. Personne n'avait jamais signalé d'attaque de loups solitaires dans le coin. Le doma
a calma. C'était exactement ce qu'il lui fallait. Elle se laissa flotter, entourée par le silence et la lumière de la pleine lune. Les reflets
s et aperçut, de l'autre côté du lac, la silhouette d'un immense loup. Noir, sans doute. Se
ement retentit derrière elle, si fort qu'il fit trembler les arbres. Ria atteignit sa cachette en quelques minutes, h
ire, dit une vo