L'héritière répudiée par mon mari
e vue d
lanant au-dessus d'elle comme pour vérifier ses blessures.
blement, s'appuyant cont
n'est-ce pas ? » Il a fait un vague geste en direction de Séraphine. « Alors elle a regardé penda
de traumatisme, les cicatrices visibles et invi
urire triomphant et moqueur par-dessus l'épaule de Dami
iens précieux éparpillés sur le trottoir immonde. Je me suis agenouillée en silence, mes doigts tremblants en te
t l'aile délicate, un talon à se
RA
e réduit volant en éclats sous
'est arraché de ma gorge. Je me suis jetée sur elle, ma seul
i jamais
assé de mes poumons, et j'ai heurté le sol durement, atterrissant sur un morceau de plastiqu
laciale. « Tu continues de t'en prendre à elle », a-t-il grondé, ig
s. « C'était à Léo », ai-je sangloté, les mots étouffés
dédaigneuse. « C'est un jouet. J
e la ville, le vent froid, la doule
ait o
l'homme qui prétendait que Léo était « aussi de sa famil
j'avais l'impression qu'un trou noir s'était ouvert dans ma poitr
leur, et je me suis tournée pour pa
rogne. Il s'est penché par la fenêtre, sa colère soudainement remplacée par un
à déjeuner.
ntée. Que restait-i
À l'avant, Damien et Séraphine discutaient intimement, leurs voix un murm
Séraphine m'avait infligée depuis sa réapparition dans nos vies. Chacune é
en avant. Le bruit de pneus crissan
nait de percuter le