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Le quatre-vingt-dix-neuvième adieu

Chapitre 3 

Nombre de mots : 1193    |    Mis à jour : 28/10/2025

e vue d

nant ma tempe, je suis entrée à la fête de fin d'année de Théo. Mes amis m'avaient pratiquement traînée hors d

t Catalina étaient au centre d'un groupe rieur, son bras drapé posse

ui gardaient encore espoir pour

ant de moi au couple heureux de l'autre côté de la pièce. « Tou

rire fatigué. « Ouais. P

s, réels. Pas comme les me

-et-Éliana », a dit Manon, comme si c'était une loi immuable d

e tu avais dit que tu aimais l'odeur ? » a remémoré Chloé, un air triste sur le vis

m-pom girl de terminale parce qu'il disait qu'il "gardai

qu'il était, du garçon qui m'avait aimée si férocement. Le passé était un beau souven

changent. » J'ai hoché subtilement la tête vers l'autre côté de la pièce. « Et

compliquée sur le visage. Quand il a entendu ma déclaration calme, sa mâchoire s'est cris

s, sa main glissant plus bas sur son dos, et lui a chuchoté quelque chos

ce délibérée et cruelle conçue pour me

risée. Il n'y avait

placide sur le visage, et j'ai commencé à parler des plans

sé son visage. Cela ne faisait pas partie du script. J'étais censée le poursuivre, le supplie

esserré sa prise sur son bras, faisant la moue. Il a hésité, pu

eille a tourné, et l'air de la nuit s'est épaissi d'une nouvelle sort

iné, ses yeux trouvant dé

amies de Catalina, a souri d'un air narquois. « Je te mets

les yeux du cercle se sont tournés vers Maxence. I

ée directement, ses yeux brillant de malice. « Éliana, ça ne

t de fausse sympathie. « C'est son ex,

de tout le monde sur moi, attendant ma réaction. J'ai regardé Maxence. Son regard était intense, brûlant

pporter de le voir avec une autre fille. Il pensait qu'un mot de protestation de ma part suffirait à réaf

nce froide. « Pourquoi ça me dérangerait ? » ai-je dit, m

r brute et non filtrée. Son visage s'est rigidifié, sa mâchoire si serrée que je pouvais voir le muscle tressaillir. Mo

-t-il dit, sa voix dangereusement douce. Il a attrapé le visage de Catalina avec une

pectacle public de possession et de rage. Il l'embrassait, mais il essayait de

ards de tout le monde, leur pitié, leur curiosité morbide. C'était comme rega

iré, Catalina était à bout de

vec un sourire malicieux : « Alors, Maxence

Ils étaient sombres, remplis d'

e pour que tout le monde l'entende. « Catalina em

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