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Mon premier amour, ma dernière vengeance

Chapitre 4 

Nombre de mots : 1886    |    Mis à jour : 23/10/2025

ue de Jean

t deux ans après notre emménagement dans la demeure des Chevalie

avec des cheveux bruns ondulés qui tombaient sur son front et un sourire qui semblait réchauffer t

elé, laissant tomber un sac d

atherine, il devait donc être au

. Chevalier, son visage s'illuminan

était encore plus jolie qu'en photo. Puis ses yeux, d'un bleu chaud et pétillant, m'ont t

petit signe ami

le fasse, son attention avait déjà été captée par Kévin, qui lu

emander à son frère à voix basse, hochant la t

ssez fort pour que je l'entende. « C'est la s

isine, ma place légitime. Le son de leurs rires joyeux et réunis m'a

automatiquement dirigée vers la cuisine pour man

ait dans l'encadrement de la porte. «

Catherine et M. Chevalier étaient déjà assis. Ils n'avaient pas dit u

ier, remarquant mon hésitation.

aise vide à côté de Baptiste. La conversation coulait autour de m

avec une pointe d'ironie. « J'ai entendu dire que Jeanne a été d'une

in de ma bouche. Mon cœur s'est mis à bat

eau de poulet rôti dans mon assiette. « T

r, et je savais ce qui arrivait aux gens qui se retr

, c'est une fille très... appliquée. Nous

ancer un regard. C'était du pur ve

juste souri

ssiette, la nourriture sans saveur dans ma

mbre. Il n'a pas fallu longtemps pour que la porte

a-t-elle sifflé, sa vo

pas de quoi v

moi. Le séduire ? Dès son

ne l'avais même jamais re

i ? » a-t-elle exigé en attrapant mon bra

s, » ai-je murm

s du mien. « Reste loin de Baptiste Chevalier. Il

ma voix à peine audi

uis restée là, tremblante, quand j'ai remarqué une ombre dans l

. Il avait

ait une performance. Un acte délibéré pour provoquer Catherine. Je ne savais pas pourquo

e jardin quand il est sorti s

jà ? » a-t-il demandé, sans

» ai-je di

e Jeanne. Tes parents n'étaient p

un joli nom à ma sœur, Chloé. Moi, j'étai

allée à l'éco

No

ais li

Les mots

eus scrutant mon visage. « Elle es

rs la maison. Et elle était là, une silhou

le est merveilleuse. Catherine et M. Chevalier, ils sont si bons pour m

sourire entendu jouant sur ses l

n père a un appartement pour moi en ville. Plus

si terrifiante, que je ne pouvais plus respirer. Mais partir avec lui ? Un garçon

balbutié. « Je n'ai pas d'arge

Il était comme un bel animal dangereux. On ne sav

levant. « Quand tu auras pris t

us tard, Catherine traversai

il t'a dit ? »

dans cette maison. Je n'étais qu'un pion. « Il m'a demandé mon nom, » ai-je d

mais a semblé satisfaite. Elle

fait son annonce. « Papa, je vais m'installer dan

ici ? » a demandé M.

avec aisance. On lui avait déjà donné un pos

mbre avec toi, pour cuisiner et fa

merci. » Il m'a regardée droit d

s sur moi. Je ne savais pas quoi faire, si je devais hocher la têt

même s'occuper de toi

Baptiste avec une confiance inébranlabl

vers la porte. Ça a

es, » a-t-il dit en

« Je n'ai besoin de rien d'ici, » ai-je dit

incère et éclatant. « J'

berté vertigineux. J'ai regardé la ville à travers la vitre

des chaussures, des sous-vêtements. Je n'avais jamais possédé un vêtement neuf de ma vie. Je me sui

mon visage. Il n'a rien dit. Il a juste

s que j'avais sur lui se sont

er, remplissant notre petit appartement de l'odeur de plats riches et nutritifs. « Si un j

s avec moi pendant des heures, m'apprenant à lire, à écrire, à faire

e complimentait-il, et

andé : « Tu peux me do

puis a écrit un mot sur

u sucré, » a-t-il dit en so

traçant les lettres avec mon

mon protecteur. Mon monde. Et j'étais en t

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