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Brûler son monde : La fureur d'une épouse

Chapitre 4 

Nombre de mots : 1297    |    Mis à jour : Ce jour11:17

ue d'Apoll

côtes. Dans mon rêve, Léo pleurait, un son faible et aigu que je ne pouvais pas atteindre

urante dans mon abdomen, mes yeux balayant la chambre d'

use, a recouvert ma peau. « Léo ? » ai

rande fenêtre qui donnait sur la ville. Une silhouette se découpait sur

ngereuse. Toute la peur, toute la douleur, se sont

versationnelle. Elle se balançait doucement, berçant L

e. Moi. Ma

c dans l'obscurité. « Pourquoi

une agonie, les points de suture dans mon ventre tiraient et se déchiraient. Je me su

nt de la fenêtre. « Fais attention, A

le en a fait un autre en arrière, une danse cruelle dans la pénombre. Léo a

délibéré, elle a déverrouillé la fenêtre et l'a poussée. Une rafale de vent froid a ba

Léo au-des

r, ma raison, tout mon être était suspendu à un fil entre s

le mot un sanglot étranglé. « Flor

ers moi, mais ce n'était rien comparé à la terreur qui me griffait la gorge.

, sa voix un halètemen

e l'a

oppé dans une couverture bleue, disparaître dans l'obscurité. U

ierre décoratif juste en dessous de la fenêtre. Flora l'avait

itées, alertées par mon cri. Léo a été ramassé et emmené d'urgen

aient ! Je suis si maladroite ! Je ne me le pardonnerai jamais ! » Elle a levé les yeux vers lui, ses yeux brillant de larmes. « Je voulais êt

t, transformant son crime en une décla

, murmurant des mots apaisants, lui disant que

chagrin, la vie de mon fils en je

chanceux », a-t-il dit, le visage grave. « Pas de blessures majeures, mais il

me suis appuyée contre le mur, des larmes de gratitude et de rag

a, la protégeant de mon regar

sa voix froide et définitive. « Flora se sent

e brisant. « Elle l'a tenu par la fenêtr

scussion. Il m'a ensuite tendu un document plié. « Tiens. Je me sui

ux parcourant le texte offici

air Rodri

était le nom du frère de Flora, celui qui était mort dans un accident de bat

mes mains. « Qu'est-ce qu

ans le lit, ma tête sur sa poitrine, à parler de prénoms. *Léo*, avais-je dit. *Comme un lion

agé n'était qu'une autre

ns parfait. « Le nommer d'après son défunt frère... cela semblait être un moye

ffacé ma famille, mon nom, mon

naissance en deux, puis en quatre, les morceaux

tellement pour moi ! » a-t-elle crié, et sans aver

quante. Mais ce qui s'est

nstantanément saisi la main de Flora, l'examinant avec une in

qu'il a tourné son attention vers moi. Une lueur de quelque

line ? » a-t-il dem

fleurissait déjà sur ma jou

airs. « N'ose même pas », ai-je dit, ma voix dangereusem

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