L'ombre des corbeaux

m'approche, les bras tremblants, l'adrénaline coulant dans mes veines, avec le besoin de lui arracher ma fille des bras

e se place de manière à bl

pporter pour les protéger, comme je l'avais promis à chacun d'eux à leur naissance. J'ai rompu ma promesse lo

r et ensuite nous pourrons parler », dis-je en bai

l, la secouant brutalement de haut en bas dans une piètre imitat

s un murmure, en faisant un pas d

rme son expression en quelque chose de plus sinistre. « Pourquoi aurait-elle peur ? » demande-t-elle d'un ton faussement innocent. Son sourire disparaît instantanéme

e a peur », rétorqué-je au lieu de garder le contrôle d

tin, demande : « Maman ? » Vêtu de son pyjama avec des voitures de course, il protège d

on, no

ulant ma peur et ma rage dans un petit coin sombre de mon esprit, j'

Dustin, le faisant trébucher en arrière avec

, mama

Dustin, s'avançant vers lui, le faisant reculer

au préféré, rangé dans son étui en cu

nt de l'attraper, et elle m'attrape par la gorge, me forçant à me mettre sur la pointe des pieds grâce

urnant mon corps juste à temps pour éviter de me cogner le ventre. Mais mon élan est trop fort et je ne parviens pas à retrouver mon équilibre à temps, tombant sur la poubelle et la renversa

t jetant tout ce que j'avais soigneusement emballé à travers la pièce. «

me si je me remets debout, prête à

ains pour soulever le haut de mon corps du sol, ses bottes de cow-girl pous

nner

tements que je jetais

eau dans mon état de vertige. Peu importe le bruit que nous faisons, Morganene s'arrêtera pas tant qu'elle ne le voudra pas. Nous savons toutes les deux qu'aucun de mes voisins ne viendra miraculeusement à mon

coups de mensonges. Pour la première fois de ma vie, je me bats vraiment de toutes mes forces, sachant que si je ne le fais pas, ce sera la fin. Notre troisième chance dans la vie dépend de

ête qui tourne par manque d'oxygène. « Je t'avais dit ce qui arriverait à Liamet Clarasi tu essayais de partir !

oras'accroche à Dustin, mais Morganerepousse facilement ma fille, qui revient aussitôt à la charge. Le visage de ma magnifique petite fil

alier servant, sauvant une mère célibataire de dix-neuf ans avec deux enfants un an après être arrivée à Las Vegas avec pour seuls bagages les vêtements que je portais. Un masque qui a commencé à se dissoudre