Mariés sous Condition

tallée sur le lit. Alors je lu

é un lit rien qu'à toi, que

terre ce matin à cause de ce fout

! » rétorque-t-elle

ituée. Je me suis retournée comme d'habitude, et paf, j'étais a

e. Mais regarde-les, ses parents ! Des amours. Ma belle-mère me traite déjà comme sa fille. Jamais elle ne

», dit Rina en me

e épouse modèle, me rendre indispensable, le faire tomber amoureux... et, à la fin de l'année, je l

e est interdit ?

pas. Elle est

de vomir. Un vrai parasite, ce mec. Ça fait six mois qu'il colle à Rina, six mois que je supporte so

'accord », susurre-t-ell

Elle est occupée avec moi, connard ! Pa

léphone ! » Elle se jette s

avec moi à cette fichue réception

maintenant, je ne vais pa

'étais pas censée m'abandonner ! Tu veux me laisser

j'y vais. Et si ton diable d'époux s'avise d

e l'enlace joyeusement. Son

partout, un ennui mortel. Mon mari discute affaires - encore ! - sans

n. « Merci, je croyais que tu

lle en m'étreignant. Mais je vois

e qui s'es

ien

Éros,

dernière fois, il

era le dégoûtant. »

abordée dehors. Mais il a eu droit à mon

Bien fait

, mon mari

revoilà...

dois frapper »

ais un c

ourire éclatant, yeux gris qui pétillent. Il m'attrape la ma

he bée. « Euh

-la, pervers ! Tu veu

lus belle. « On se

and mon mari intervient :

a, ce mec se pointe aussi à ta réception ?

« Tu exagères toujours, Rih

ue tout. On reconnaît un homme à ses amis... et toi,

te un reg

upide qui a signé ce contrat en toute connaissance de cause », réplique-t-il, un sourire ironique a

ment parler à une fille comme toi. Et franchement, tes yeux me transpercent comme une flèche. » Rihito lui fait un clin d'œil. Encore un q

ta soirée spéciale, si ? Elle n'aimera sûrement pas te voir faire la moue toute la nuit - et puis ça abîme ton joli visage. » Il sourit.

d. « Voilà une jeune femme en colère, dis donc ! » commente-t-il. « Cesse un peu ! » je le fusille du regard. « Désolé, je voulais juste détendre l'atmosphère. » Il passe une main dans ses cheveux bruns et bouclés. « Tu n'a

dive. Tu sais, je suis l'ami proche de ton mari - son frère de cœur, son conseiller, un peu tout. On se connaît depuis douze ans. Sans moi, il serait complètement perdu. Maintenant qu'il est marié, je peux enfin le laisser à sa destinée,