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LE POIDS DE L'AMOUR

Chapitre 5 LE POIDS DE L'AMOUR

Nombre de mots : 6501    |    Mis à jour : 01/12/2021

la peur dans un f

in, dans leur propre maison. Étranglements, coups de poing au visage et dans l

gir (par mollesse, indifférence, état dé

du papa étaient remplis de larmes dans son cœur qui serrant Sylvie qui ne sentait plus rie

vivais et traversais même là je ne sais pas où j’allais et je ne savais même pas où j’é

ts, je disais à tout le monde que tout allait bien ; mon cœur était une pe

rêtant de regarder par-dessus mon épaulé j’avais fini d'arrêter de me demande ce que ça veut dire rester envie dans les bras de son gourou ; renoncer à brûler, o

peur au ventre à toute son être

pas tout faire sortir, mais ça nous aider à re

l’autre ; mais dire j’ai eu mal sans

regarder j’avais du mal à le regarde, cette peur qu’il avait créé en moi, quand il était avec sa famille son regard me tuait n’arrivant même pas à boire ou manger sa voix me faisait tremble, en ce moment-là tout le monde me regardait comme une personne qu’on devrait exterminer, je

signe et que je puisse partir de là, pourqu

depuis ma naissance est deve

ènerais toute seule et lui non, il vit sa vie, il sort ne rentrant pas pendant des jours sans prendre de mes nouvelles avec ses propres enfants, on dirait qu’il s’était détacher de ce monde et vivre sans émotion, j

vrait être dans la paix non les choix d’avoir son part

lui qui les a faites oui et non, guérir si vous le

amour brulant sans émotion que je

les ramener à la vie, elle l’écoutait tout le temps ; et finissait par lui cacher en bas du lit pour qu’il ne me voit pas cette chasse à l’homme serait devenu comme un animal et ça proie quand il a faim, cette sensation de peur que je ressent

une rivalité. Elle représentait son échec

e avec l’aider de son père mort. Il était en douleur tout le temps avec son passer, qu’il la fai

as. Il voulait être a

urs et les gens avec qui il vivait dans la société qu’il avait créé, on ne peut imaginer que ses grand-

quelqu'un

açante qui contraste avec la pass

ogue, car ces addictions n

das et autres gourmandises d'autres para

eux, qui pourra être

r ses fantasmes lors

iflée : "Si je lui mentais encore, la prochaine fois, ça ne sera pas une petite tape que j

tenais sur les glaçons que je devrais répéter : je ne m’enfuirais plus jamais devant les yeux de mon père qu’on l’avait prise en otage s’il tentait à me sauver encore une fois, il voulait tellement me taper encore sur ce petit corps que mon père r

ent, ils n’avaient mis en confiance de tous leurs raconte de ce que Alain me faisait, mon père me seco

hez moi que je pensais l’être, les vieux vêtements sale se laveraient en

perde connaissance, avant d'avoir ensuite une relation sexuelle. Selon son récit, il lui demandait de porter

it un réseau qui recrutait et préparait des jeunes filles à avoir des relations sexu

es bras de cher

l s’était présente en protecteur au départ pour la mettre en confiance pour qu’elle puisse baisse sa garde contre lui, ne lui avait pas prévenu qu’elle allait devenir sa proie sexuelle. C’était une tradition qu’Alain avait

qui voit en elle une débauchée n’était pas plus tendre avec el

lui jetait de la farine et autre parfois du vin pour l’aider à s’enivre, en privé comme en public, dès qu’ils le pouvaient. Ent

corps sont rempli de blessures et brûlure, mais personne ne douterait al

té déchirants et étranges, je vais faire un

Avec presque le sentiment que j’avais le pouvoir de la faire revenir” Qu’il voit que j’étai

princesse comme son père l’appelait qui avait fait rêver tout autre destine allait vivre celui de la haine

manipulée par la peur et l'égarement de tes paroles, ton regard et tes bra

ur briser en moi le peu de dignité que je portais encore en moi, Sylvie ; tu avais jur

j'aurais pu dire, avant que tu

s fort sans haine envers mon c

ronter dans tes pensées et cœur plus que moi, je n’aurais p

pas guérie celui qui ne

de m’aime avant de c

rties on tort, et pourtant il devrait avoir qu’

laissé tomb

ut cesse de

jamais si tu avais accepté de mon aider po

Serions-nous

sychiatrique ou autre. Et puis là on sait que pendant des mois on devrait se revoir pour décider de tout pour couper le cordon, on va y retourner tous les jours et on va même alle

ir en Bretagne au se trouver la maison familiale de son père pour y vivre, mais un mé

ait prête à trouver et son rôle de mère », et elle avait pris une décision qu’Alain ne verra jamais ses enfants jusqu’car leu

mprime de toi sur mon corps, il y a toujours une fin à chaque combats, Salomon dans l’ecclésiastique qui me donne la force de comprendre de reste fo

l’or est éprouvé dans le feu, avoir

ec cette peur donc bon débarras je suis heureuse de ne plus pouvoir revoir ton visage je ne donnerais aucun mot de haine à mon cœur de

mes yeux d’enfant m’ont trompé de te voir comme un tonton gentil

tir de là, cette histoire c’est endormir pour de bon, pour honorer un parent il faudra qu’il fasse son t

ton c’est ce que mon cœur t’aimait j'avais dépassé tout ça au mom

nfant tu les as effacés et je me suis en genou devant toi, l’enfer j’ai vu le diable j’avais même cru que tu

is jamais pourquoi les gens sont si méchant tu as touche à ma vie tout ce que je devrais bâtir e parie que ça doit être horrible d'être toi maintenant, c’est si triste, de te voir que t

endais à ce que je te réconforte apr

alheur que tu transportais était pourrie jusqu’car ton os je suppose que c'est pour ça qu'elles ne coulent pas,

euse de toi en me disait ce tonton là ; j’aurais aimé avoi

revienne et pour quelle raison de

toi, cet amour que tu pensais qu’elle devrait suivre n’est plus que cendre. Il est temps de faire face aux faits que toi-même tu as construit je vais oublier tout de toi-même ton odeur et on visage

lui mettre son pénis dans sa bouc

tait. Il la tient par les c

as marrante je pourrais avoir m’importe quel petite comme et plus, sin

it pas drôle, visiblement à

les cheveux, elle ne voulait pas

rs, elle refuse, elle pleure (…) El

plus voir que des ténèbres, avant même ton nom me faisait vomi et me faisait tremble même quand une porte s’ouvrait et claquait je pensais à me refuge derrière cette peur est quitter loin de toi

ur cette terre étai

tu es, un autre moment, un monde, et une autre vie Dieu merci j'ai trouvé le bon au revoir, dans

côté le plus sombre, que j'avais fin

art ni des autres, l’être humain qui aime blesser ne sait pas ce qui est la vérité, dans tes peurs et souffrance, tu t’es mis à régler ton passer

tu t’es charge à me le verse sur mon corps entier, chaque jour je devrais

e là devant les jurées pour t’expl

aisais sur moi, donc tu n’es

j’avais bien oublié qu’on ne changerait pas le cœur d’un homme. Je t’avais dit que je te rattrapera

est grâce à moi

t’avais aidé à te relever que tu n’avais remis par terre la t

es trop éloignée pour me serrer contre toi, avan

e enfantine que les enfants pouvaient traverse dans le silence aux yeux des adultes qui sont capable d’avoir la riche

ré dans les coups. En fin de comp

ertains bruits ou ressentir certaines odeur

e je ne pensais plus le faire un jour “J’ai eu le syndrome de la su

il aurait plus d’adultes qui font ça et ceux qui font semblant de comprendre et ceux qui aimerait que ses langues se ferment et ne devrons jamais en parler c’est serait une honte de salir un père ou une mère qui vivrait autrement sur le corps de son enfant qu’ils

s enfants dans les bras avec le VIH, pour une poigne d’argent qui ne va pas dure, ses tradit

iliser comme est écrit dans les sainte é

e ce sujet devant Dieu ; c’est toi qui m’as donné cette

tout se détacher de notre gourou, on sent cette liberté d’être soit et que c’

te de me revoir ils n’étaient pas sûr que ce fût moi devant eux, ils ne voulaient pas me toucher ni m’approcher pour eux j’étais mo

ux-là, incapable d'aimer, non, je ne suis pas bonne à ça mais j

ours comme ceux-là, tu partira

savoir comment sortir dans ce cercle d’impuissance de prisonnière d

s, mais quand je voyais ton visage devant moi, ce miroir de ta face co

ps, quand la première fois je t’avais tenu dans mes bras cette nuit-là, je ne voulais pas te faire tout ça, mais le visage de ma mère n

r ses femmes qui vivent dans cette prison, elles restent parce qu’elles ne se disent pas avoir de choix ni

e jour où tu partiras et t

in sans ton

toi malgré tous ces peurs qui bousculent

prendre tout de moi sans rien me laisser je vais te montre

e en route, je prenais des comprimes pour soulage m

m'en sortir de tes griffes, c’est dommage que l’amour blanc soit

a vie du peu d’amour qui te re

ce que

tu me verrais

épreuves que j'av

quelle humiliation de voir que ma vie tu le tenais en main, tu n’attachais sur le lit et me battait, j’aurais aimé que to

lques hématomes sur le corps disait-t ‘elle à ceux qu

té pour qu’il puisse retro

u feu à tes tortures, si tu ne m’aimais pas il ne falla

us si je te quitter, mais est-ce que la justice voudrait

ai passé l'épreuve du feu j'ai comm

s pas ma place, que à la fin j’avis compris tro

e voulais tout filer le

On s'aimera toujours, tu ne seras jamais là, tu peux crever

recevoir des coups, je voulais que le fou que je vivais auprès de moi fasse sa vie dans un

oin de tout ça pour prouv

uer un être pour dire avoir l

tout été vou

avait créé, avant je pouvais me battre pour te retenir à ne pas faire du m

e qui tu es de quoi tu souffrais, comment te guérir

prendre son passer

plus les entendre de ta bouche, à chaque fois que tu as porte main sur moi, ap

ses qu’on aimerait construire, se battre pour rester envie dans les bars d’

enus ennemis ; mais ces cieux obscurcis

jours, je pleure devant cette rivière qui

pas si je crois ; après m’avoir comme personne ne serait très facile, tous les mots irréfléchis que tu m'envoyais ses signaux que tu

rrasser ses moments qu

peau et un zombie mangeant ma chair, c

us sommes sur le point d'exploser

evant la police, je vais partir, je n’ai pas eu ma vie d’a

i ment, je ne lui a

présent et le juge qui passait par là, s’arrêtait et voyant son co

puis tu viendras encore ici pour dire que tu as été gentil,

ouillard qui déplaceraient les nuages dans mon visage et éteindre mon

ent, merci mamie pour tes conseils, tu ne

nt tes caresse

e tu blesses ceux q

n papa qu’on avait survécu ensemble au chagrin grâc

is fait endurer, était humaine, tu vois des choses qui me

ire au tribunal que j’étais consentante que j’avais signe le pa

ation maintenant il est trop tard à présent, je vais de l'avant je suis plus forte, je crois à présent que c’était une autre fille que tu avais

n, j’ai voulu voir ta face, te monstre que je suis plus forte, que tu ne m’as pas enfermé

r en morceaux, ne sachant plus quoi faire, tu t’éta

j’ai appris à reste envie en te donnant ce que

t’avais faire croire à mes faux sentiments

pensant juste à ton visage qu

combien j’atten

si longtemps à ce qu’on puiss

t, cette lumière que je vois, e

on me rappelle les coups et les mots cruelles que tu me faisais vivre, chaque mot, je les ai tous imaginés avant que je pénètre

a mémoire, tu vivrais dans cette souffrance de vouloir me vo

mpossible, soit un homme d’esprit qui se comprend d’abord lui-mê

é, à accepter que je pusse être aimer par pour

été pris de force, je veux qu’on fête, qu’on rit se pl

ais-tu ça en

aire après qu'on en a f

ue tu refuses de t’a genou te de

ier à craquer là

e suis fière de voir que tu es par terre à tes propres jeux, u

e je devrais le faire, pour que

t pas toujours une fin

mon armure contre toi ; le silence regarde pour voir qui aband

le ; j'ai besoin d'un abri pour ma propre pr

ntrer sur mes projets] La c

nt, mais je dois avancer dans ma vie, le chem

s changements dans ma

ehors il fait noir il est temps de rentrer chez moi et je croyais que ta

rait nos mondes secrets si tu vivais dan

jusqu'à ce que je sois complète

r comme un doudou qui manq

tout le monde pour monstre que tout va très

per mon cœur, quand mon

par-dessus

uis intér

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