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Enceinte de l'Alpha Interdit

Chapitre 4 Chapitre 4

Nombre de mots : 1559    |    Mis à jour : 11/09/2025

apable d'apaiser son esprit. Les images du centre commercial la hantaient encore, le regard brûlant de Raven gravé derrière ses paupières. Elle avait fui, el

emblait respirer autour d'elle. Ses pieds nus s'enfonçaient dans une terre humide, glacée, et chaque pas résonnait c

yra

bouger, se rassemblant devant elle pour former une masse plus sombre encore. Deux yeux brillèrent, deux lueurs ardentes dans la nuit, et soudain Rav

on ventre comme un battement étranger. Ses mains se tendirent vers elle, et avant qu'elle ne puisse s'enfuir

par la nuit. Elle sentit ses forces la quitter, comme si quelque chose d'elle s'arrachait pour se fondr

orge, mais aucune morsure, aucune trace n'y figurait. Pourtant la sensation restait, brûlante, réelle. Elle port

êve, se murmura-t-el

jambes tremblantes, et alluma la lumière de la salle de bain. Le miroir lui renvoya son visage blême, ses ch

que comme des racines, qui pulsaient faiblement. Elle posa sa main dessus, et un frisson violent parcourut tout son corps.

non, no

e illusion due au cauchemar, mais ses yeux refusaient de mentir. Elle toucha à nouveau la marque, et cette fois une vision fulgurante

it imprimé cette chose sur elle ? Était-ce

sursauter. Elle s'en approcha à pas hésitants. Aucun

é de moi, n

se, sensuell

et serra l'apparei

z-moi tr

t la ligne, sombre et

ppelles déjà. Dans tes rêves, dans ton corps, j

roula contre le lit, tenant son v

-vous fai

ur savourer sa panique. Puis s

e. Tu ne peux pas échapper à

Lyra resta là, tremblante, ses yeux fixés sur la marque qui palp

rit que la fuite ne suffirait peut-

ce battement qui ne lui appartenait pas. Chaque vibration semblait l'enraciner davantage dans une réalité qu'elle refusait d'accepter. E

'ombre

noya d'un voile mouvant. Quand ce voile se déchira, il était là. Raven. Debout, imposant, sa silhouette découpée par la pâle lumiè

lbutia-t-elle,

tôt vers son flanc, comme s'il savait ex

une voix grave, sans détour. L'enfant a ré

e comme pour la cacher, mais la pulsation s'intensif

ura-t-elle. Vous n'avez aucun

es pas mesurés, lourds d

n, désormais, entremêlé au mien. Tu peux le nier autant que tu veux

nt son regard malgré la peur

sceau. Je suis libre, vous m'entendez ? Libre !

ce qu'elle ne se connaissait pas. Son corps vibrait de

et la contempla longuement. Ses lèvres s'é

rais pu t'écraser, t'enfermer, mais tu

liqua-t-elle d'une voix vibrante. Par

é d'une volonté d'acier, l'autre d'une intensité insondable. La tension emplissait la

ilence, son ton plus

prends pas encore. Le monde que tu connais est trop petit pour ce qui gr

amer, ses yeux brillan

sant vos règles, vos ombres, vos maléd

aversant ses yeux. Pour un instant, il sembla vulnérable, partag

ce qui rôde déjà autour

n arrière, son do

r ces ténèbres par moi-même plutôt qu

la regarda comme si elle venait de tracer une frontière qu'il n'avait pas prévue. Une étincell

la tête, un sourire gl

dance. Mais souviens-toi : chaque battement de ce cœur qu

souffle, il disparut, laissant derrière lui un silence oppress

elles brûlait une résolution nouvelle. Il voulait la protéger à sa manière, en la

nifiait affronte

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