Contrat irrésistible du Milliardaire
hés au ciel, et la musique, entraînante, vibrait au rythme des conversations mondaines. Amaya, vêtue d'une robe couleur d'ivoire, avançait par
tournant de sa vie où tout semblait enfin à sa place : un fian
consciemment une silhouette familière : celle de Marc, son fiancé. Il avait disparu de la salle depuis quelques minutes, et bien qu'il eût prétexté une discussion d'affaires, quelque chose sonna
l'expliquer pleinement. Elle se surprit à longer le couloir feutré menant aux salons privés de l'hôtel. Là, les échos de la fête s'atténuèrent, remplacés par
rmure qu'elle connaissait trop bien. Le timbre grave de Marc. Sa gorge se noua. Sans réf
uvrit la frappa
eurs corps étaient si proches que l'air semblait leur refuser le moindre espace. Les lèvres de Marc effleuraient
arc
le aurait voulu crier, frapper, mais seuls ces trois l
vert en plein crime. L'autre femme, élégante dans une robe éc
que tu crois, balbutia Marc,
essemblait en rien à celui qu'elle avai
mes yeux me mentent ? Tu crois que mon cœur
r la retenir, mais elle recula vivement. La di
tait qu'une erreur, un moment de f
es. Tu appelles ça de l'amour ? Tromper celle qui croyai
qu'elle n'avait jamais sentie aussi forte. Ses larmes ne l'écrasaie
me, qui jusque-là affichait une arrogance insolente, baissa le
comme une gifle contre le sol marbré. Derr
ya, je peux tou
e retourna pas
rmures s'élevaient déjà, rapides, perfides, comme une traînée de poudre. On avait vu, on
jubilaient de ce drame inattendu. Elle marcha au milieu de la foule, le dos droit, le regard fix
acial, comme une douche de réalité. Ses mains tremblaient, sa poitrine se soulevait par saccad
rt, les larmes dévalant enfin ses joues. Sa voix
nt as-t
bre des jardins, u
foule, mais pas pour elle. Son regard, perçant, suivait chacun de ses gestes, chaque frisson de son cor
présence était si forte qu'Amaya, sans même le v
de s'ouvrir devant elle. Une destinée écrite dans l'ombre, où l'amour, la doul
hute, venait d'inscrire Amaya dans son horizon comm