Mariée au Milliardaire Impitoyable
nomme le plus beau d'une vie me laissait pourtant glaciale, enfermée dans une salle sans chaleur, dépourvue de regards
amour devait m'envelopper comme une caresse, et pourtant je n'étais qu'une ombre recroquevillée dans un coin, consciente que dans quelques heures je deviendrais l
tail m'offrit un répit fugace. Je séchai mes yeux, pris une contenance, et me laissai guider par une femme dont j'
es ? souffla-t-elle
mentis-je dans un sourire fo
rides de tristesse sous une couche de fond de teint, et lissa mon voile. « Tout est parfait », m'assura-t-elle. Parfaite pour offrir mon premier baiser à
oordinatrice claqua des doigts
assa ses pétales et rejoignit le cortège, sautillant comme si tout n'était que jeu. Les lourdes portes s'ouvrirent, laissant s'échapper les notes d'un orgue et d'une harpe. Les invités se levaient, les coupl
'aurais voulu que ce soit ma mère qui prononce ces mots. Cet homme, si doux, portait une gentillesse rare, contraste cruel avec la réputation frivole de son fils. « Tes parents ? Je ne les ai pas vus... », d
carnait le mari idéal. Je trébuchai sur ma traîne, son père me retint de justesse. Dans les bancs, nul visage familier. Seule la petite fille, deuxième rang, jouait avec son panier vide. Mes parents ne viendraient jamais. Je
nte, le plus séduisant que j'aie jamais vu. Son père m'embrassa la joue, puis Nolan me prit la main avec une élégance presque cheval
vers moi. J'entendis la prison se refermer. Pourtant, dans ce monde où la protection compte plus que l'amour, je balbutiai : « Je le veux. » Le baiser suivit, déclenchant l'ovation. Ses lèvres effleurè
l'intérieur, son sourire disparut. Il désigna un paquet : « Change-toi. Tu ne peux pas aller à la fête en robe de mariée. » Je protestai
» Je me jetai dans ses bras, avouant à demi que j'avais besoin d'aide. Elle ferma aussitôt le magasin et me conduisit au fond, devant une robe suspe
image de ta mère. » Ses mains essuyèrent mes joues. Puis une voix masculine résonna. Nolan venait d'entrer. Il resta figé, les yeux agrippés à moi. « Cara mia... t
uittant la boutique, il se pencha vers mon cou, chuchota d'un souff