Le Cœur du Viking
l
nt contre les murailles de pierre du village. Chaque bruit résonnait avec une intensité étrange, amplifié par le silence oppressant qui pesait sur la
passer inaperçue. Les hommes de Ragnar m'avaient observée avec un mélange de crainte et d'excitation : chacun d'eux savait que je n'étais pas comme les autres femmes de **F
f tendu comme un arc. Je savais que les coups allaient tomber, mais je refusais de plier, même sous la douleur. Ma haine pour cet homme, pour le
oi, il se tenait : **Ragnar Thorne**, imposant, terrifiant, maître absolu de **Frostgard**. Son regard d'acier me transperçait, cherchant à sonder chaque pensée, chaque
dans la grande salle. Tu as osé m
a tête, fièr
a voix tremblante mais ferme. Jamais je ne ser
, calculée. Chaque impact cognait contre ma chair et mes muscles, me rappelant brutalement ma condition de captive. Mais chaque cri que je re
orce et sa prestance. Mais il y avait **Sigrid**, celle qui ne lâchait jamais rien, celle qui voulait tout pour elle, qui cherchait à séduire Ragnar à tout prix. Son sourire cruel et confiant me fit frissonner d
umettre. Ma fierté et ma colère brûlaient plus fort que la douleur. Je refusais de devenir une simple poupée entre ses mains, un jouet pour satisfaire s
ifiant à la fois, observant chaque cicatrice, chaque marque de douleur sur mon corps. - Tu es incroyable, St
s brûler de colère
oix résonnant dans la salle. Je te hais pour Branvik, pour
s et sinistre qui
ce que je n'avais pas prévu. Ta résistance, ton cou
ou même la fascination qu'il me portait, pénétrer mes défenses.
e force qui surprit mes propres oreilles. Même toi, Ra
parcouraient mon corps, cherchant à percer mon âme, à dé
cela ne fait que commencer, mur
céder, de céder même un souffle. Ma captivité, ma douleur, mes chaînes : rien
rsque je le voyais. Sa puissance, sa prestance, sa beauté brute et terrifiante... je refusais de l'admettre, mais une partie de
le, je me redressai, haletante et meurtrie. Mes y
. Même si vous me tenez captive, même si v
et calculateur, mélange de f
rm. Et je jure que je découvrir
qu'il représentait. La douleur était présente, la captivité était réelle, mais mo
détruit ma vie continuait de me captiver, de m'i