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Elle, toute ma vie...

Chapitre 3 Départ

Nombre de mots : 1158    |    Mis à jour : 23/11/2021

, je n'avais pas réuss

elly et je m'en

ur, mes yeux étaient fatigu

je devais rapidement me laver ca

les escaliers jusqu'à la cuisine et

vait préparé un délicieux petit-dé

envie de retourner au lycée

is rien dit, feignant un sourire en vain. En effet, elle n'avait

l'arrêt de bus. Je stressais comme jamais, j'appréhen

ans ce dernier avec beaucoup

ma tête les phrases que je po

je sentis battre mon cœur à fond e

l'entrée, elle me fit un

lle inquiet de ce qu

udrais... Je fus in

i, je m'excuse, je ne su

s, et je m'en

On oubl

oubli

ait là, elle me pardonnait, et nou

ure, c'était une belle jour

le m'avait souri comme jamais, ses yeux pétillants m'avaient profondément boulevers

é les numéros de portab

té un des plus beau

ant qu'elle avait passé une excellente jou

e nuit et ajouta qu'elle

sé, je tombais sur mon lit et m'e

et un bisou à ma sœur je me rendis à l'abribus

une bonne journée, mais ma joie retomba

'avaient pas vu, ces dernie

nt dans la classe je regardais si elle n'éta

rutais la porte d'entrée dans l'espoir de la vo

sique, je n'avais pas eu de nouvelles d

je le pris sur le ch

stan ? C'

oint je fus déçu, et j'avais

man, qui

ulangerie pour y acheter du pa

de problème, biso

à tout

a, je me rendis donc à l

es parents. Mes yeux se fixèrent sur Kelly et celle-ci me fit un grand signe de la main et m'appela.

e la famille de Kelly. Cette vision me fit comme une grande claque que je

ly, lui fis la bis

e passe

as pu te prévenir. J'avais

ça ? Qui a-t-il

reçu une promotion et n

e l'on avait planté dans mon ventre, Tr

rester ? lui demanda

le ? Je dois suivre ma mère e

ter chez moi, j'ai

e mal que de bien, on enfonçait

beaucoup cette dernière semaine, on s'éc

ais

quoi Tr

mourrais d'envie de lui dire, je voulais lui dire que je l'a

-je rire et parler s

et Mattéo, Ils so

s ce n'est

Tristan, mais je n

e faisaient encore plus mal, je la pris dans mes bras et fermis mes yeux. Mon

ie on

i ma

aiser sur le coin de mes lèvres

r Tristan,

outu camion, je restai là, abasourdi, son visage imprégné dans ma

! Je t

entendre, et moi j'essuyais une larme qui avait coulé l

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