Son épouse secrète, sa honte publique
lant les derniers vestiges de mon cœur stupide. J'ai posé la robe que je tenais sur une chaise voisi
s retenus se sont finalement libérés, secouant mon corps en grandes vagues silencieuses. Il avait pris toute no
r la boîte à musique de mon père et quit
urner vers le gala qui se tenait dans la grande salle de bal de l'hô
and une main a jailli et m'a giflée violemment au visag
de fureur. « Tu oses te montrer ici ? Tu crois que
tue, leurs yeux se tournant
ai-je dit, ma joue me piquant. «
is que tu le vois en secret ! Tu es une sale croqueuse de diamants, une pauv
craché, les yeux fous. « Je t
me suis retournée pour partir, pour échapper à cette humiliation publi
moi ? » ai-je demandé
u te mettes à genoux », a-t-elle dit, sa voix baissant jusqu'à un murmure théâtral.
ation était si profonde, si totalement avilis
la voix ferme. « J
le fe
enroulé possessivement autour de sa taille. Ses yeux étaient froids, et il y avait une expres
-il ordonné à ses
. Je me suis débattue, le cœur battant de terreur et
L
ée, plus fort cette fois. «
ût du sang dans ma bouche. Ma fierté
L
Ma tête
pas à moi, mais à Évelyne. Il a doucement pri
brusquement. Était-c
oue. « Tu as pitié
n sûr que non, mon amour. Son visage ne vaut pas autant que tes mains parf
L'air s'est échappé de mes poumons dans un hoquet de douleur. Je me suis
usée. À travers le brouillard de la
s la main dans sa poche et en a sorti la petite boît
dé en la balançant devant mon visage. «
rmuré, la voix rauque de d
juste
s n'avions pas les moyens de voir un médecin. Alors j'ai pris la boîte à musique, mon bien le plus précieux
racheter. Pas comme un geste de gentillesse, mais comme un outil. Un
uis effondrée sur le sol, une marionne
orge. « Je suis désolée de t'avoir sauvé. Je suis désolée d'ê
? – a traversé le visage de Bernard. Il a commencé à dire quelqu
iaque. Elle a couru jusqu'au bord de la salle de bal, où se trouvait une grande
rces. Elle a décrit un arc dans les airs et a a
i plongé mes mains dans les cactus, ne sentant même pas les épines
la trouve et l'écrase pour mo
r derrière. Je suis tombée la tête la première dans les cactus
donné un coup de pied dans les côtes. J'ai enroulé mon corps autour d'elle, essayant de la
arraché la b
ment écœurant, ils l'on
nné dans le s
éclaté et les morce
eau de mon père
e dernier morc
ncontré. J'aurais aimé le laisser