Le Sacrifice Ultime d'une Épouse
somnolait sur un fauteuil dans le salon, un endroit où elle
? C'est au sujet de votre sœur, Chloé. Vous devez
e se leva d'un bond, son cœur martelant ses côtes
qua-t-elle, courant
s un peignoir de soie, un verre de vin à la main. Elle logeait à l'
a ? » demanda Diane, sa voi
Élise. « Elle...
nt une gorgée de son vin. « Je fais un cauchema
ant d'elle. « C'est ma sœur. Elle est en train de m
. « J'ai besoin de toi ici.
contre le sol froid et dur. « S'il vous plaît, je vous en supplie. Ce n'est qu'une gamine. Elle est innocente. Laissez-mo
d'un amusement détaché, comme si el
ra, se frottant les yeux. «
s jambes. « C'est Chloé. Elle est en train de mourir. On
s d'Élise, puis celui, froid et composé, de Diane.
rtir », dit-il
Mais Alex, j'ai peur. Tu as promis de me protéger. »
de nouveau Diane. La guerre dans s
on. « Élise », dit-il, sa voix
ent comme un coup p
médecins font tout ce qu'ils peuvent pour Chloé. Tu ne feras que gêne
isant d'incrédulité. « Ma sœur est en train de mouri
dénuée de toute émotion. Il n'était plus son mari. Il é
n'étaient pas deux personnes. Ils étaient une seule entité, un monstre
se dirigea vers le coin où se trouvait son nouveau violoncelle – u
un long cri plaintif de pure agonie. Chaque note était une larme
it. S'il te plaît, Chloé, tiens bon. S'il te plaî
isé d'Élise, elle s'endormit. Alex la regardait, une expression d'ad
Les doigts d'Élise étaient engourdis, ses bras lui faisaient mal, mais elle ne s
osé sur la table de l'autre côté de la pièce. El
r l'interruption. Il prit le
bonne nouvelle, priait-elle. S'il vous
e, lourde de pitié. « Mme Moreau, je suis tell
s et tomba sur le sol avec un bruit sec. Un vide noir s'ouvr
d'Alex, son expression non pas de chagrin, mais d'une légère irr