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Sa Majesté ne doit pas savoir

Chapitre 3 3

Nombre de mots : 1120    |    Mis à jour : Ce jour01:58

homme dont la volonté semblait taillée dans le marbre, devait deve

encontre royale, ne savait si elle de

souverain. Leurs yeux se rencontrèrent, et une décharge fulgurante la traversa, comme si so

ûlant, électrique. Ses genoux fléchirent sous elle, et

sonnant comme un battement de tambour. Il prit sa main, la porta à ses lèvres, et effleura ses jointures d'un baiser aussi léger

tandis que le roi, d'un geste assuré, la fit pivoter vers la cour assemblée. Les applaudissements éclatèrent comme un tonnerre, emplissant la salle du trône. Avant même qu'el

a chaleur de sa main, cette présence solide

main. Il abaissa les yeux et surprit l'ombre de fatigue qui obscurcissait son regard et crispait s

une antichambre presque nue, puis un petit salon, avant d'atteindre la

tissu vénitien argenté qui semblait capturer la lumière. Au-dessus d'eux, un lustre monumental en argent et crista

semblait irréelle. Et pourtant, aucun de ces fastes

ine... était tout

au-delà de

trompeur, ce qu'il n'avait décou

alais de Brabant - et, avant cet instant, ils n'avaient échangé que deux brèves conversations. Certes, il l'avait croisée mainte

me d'une vague. Aux yeux de Zale, elle ressemblait à une sirène surgie d'un conte, une enchanteresse capable de séduire pour mieux précipiter ses vict

es principes solides. Pas cette femme dont chaque ge

e ses yeux suivaient la courbe parfaite de son visage. S

voile de rose naissant sur s

ps. Était-ce possible qu'elle rougisse réellement? Cherchait-elle à lui faire croire qu'elle

nt de crème, et ces yeux bleus, bordés de longs cils sombres, qui semblaient sonder et dominer le monde. Enfant, elle était simplement jolie, a

et l'idée l'avait révulsé : cette fillette potelée aux fossettes ne pouvait être qu'un mauvais rêve. Mais son père, avec la froideur d'un stratège, avait prédit

emplant. Il aurait dû demeurer froid, détaché, distant. Mais au lieu de cela, il se sur

la tête. « Je le suis, e

ironique effleure ses lèvres. Les faux rougissements, la réserve feinte,

dement. « Nous sommes fiancé

ant ensemble », répliqua-t-elle, relevant le menton, se

« Par ton choix, Em

s elle les referma dans un murmure à peine audible.

ré leurs fiançailles officielles. Qu'il savait pertinemment que son récent séjour d'une semaine à Palm Beach n'avait été qu'un prétexte pour assister à un match de polo où Alejandro brillai

le l'av

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